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     MÉDITATIONS DU VENDREDI #5 : « C'EST PAR LE SANG PRÉCIEUX DE ...



    Par Lanz-blum dans Accueil le 21 Décembre 2019 à 23:28

     



    J'espérai un Christ vainqueur,rayonnant de joie,tenant le sceptre et la foudre de Zeus,puisqu'au seul nom de Jésus nous dit l'évangile,les démons s'enfuient dans les trous de rats.Mais voici que la main droite du Christ ne tient pas le sceptre  magique.Sa main droite est sanguinolente et clouée,impuissante au bois.Un macchabée sinistre qui orne toutes les églises et proposé comme modèle à l'adoration  des foules.

    Eros contre Thanatos dirait Freud.L'esprit de vie contre l'esprit de mort .Un  supplice,un martyre qui inspirera les fanatiques et les martyrs chrétiens.Puis encore un exemple militaire cultivé par l'empereur Constantin pour mourir à la guerre  pour défendre les propriétaires terriens.

    En effet,le misérable,le pauvre bougre qui n'a rien que sa force de travail,n'a rien à défendre,à part sa vie et l'honneur de ne pas avoir à tuer,un frère en humanité qui ne lui a rien fait personnellement.Mais cela c'était le christianisme primitif,celui où les chrétiens refusaient de porter les armes



    Et le prêtre,sérieux comme un pape veut m'offrir une coupe de vin,symbolisant le sang du macchabée et une rondelle de pâte Lustucru,symbolisant la chair du mort. L'eusses -tu cru ?



    Puis les docteurs,montés sur les échasses landaises,pour dominer la foule,expliquent que c'est par ce sang versé,du sacrifice humain de son fils unique que nous devons notre salut.



    Ah quel salaud ce bon dieu !



    On a affaire ici à magie noire du Vaudou du Dahomey qui utilise le sang animal ou humain,d'un sacrifice,pour satisfaire des visées plus ou moins avouables.



    Les cannibales de la brousse la plus reculée mangent aussi de la chair de leur animal totem,censé représenter leur dieu.



    Il n'y a donc rien de nouveau sous le soleil comme le dit l'Ecclésiaste.Ce qui existe aujourd'hui existait aussi dans les temps passés.



    Et là dessus ,en sus se greffe l'histoire du bouc émissaire des hébreux.Un bouc qui expiait les péchés humains.Le grand prêtre imposait les mains sur la tête du pauvre bouc pour transférer le mal sur le bouc et l'envoyait ensuite mourir dans le désert et les péchés du peuple étaient effacés par ce transfert de magie noire.



    Ces pratiques de transfert du mal en magie noire sont toujours en vigueur et une émission qui est passée dernièrement à la télé montrait un sorcier guérisseur qui avait transféré les verrues de ses patients sur un arbre.Et l'arbre portait en effet une immense grosse boule.



    Cette magie noire est bien entendu condamnable.Et je conseille à tout un chacun d'utiliser la médecine et même certaines plantes qui sont efficaces contre les verrues.



    Quant à moi,je préfère et de loin,l'amour universel même pour les bêtes et les plantes,du bouddhisme.Et aussi les sentences pleines de sagesse et de respect pour la nature et pour l'homme du TAO de Lao-Tseu.

    Enfin,il faut souligner que les gnostiques chrétiens qui ont précédé la secte catholique avaient une toute autre vision du Christ.C'était le christ lumière,le christ intérieur,l'enseigneur,le guide intérieur.Ilsuffit de lire l'évangile selon Thomas ou encore selon Phiippe.Mais ces gnostiques ont été écrasés dans le sang par la secte catholique,allée aux empereurs.

    Le dernier crime de la secte catholique a été celui des cathares ou albigeois.

    Je conseille ici un livre particulièrement intéressant:

     

    PAUL ET L'INVENTION DU CHRISTIANISME

    L'auteur est  Hyam Maccoby

    Editions "Lieu Commun/Histoire.(1987 pour la traduction Française)

     

     

     

     

     

     

     

     


  •  Quand j'ai expliqué à mon âne Martin,que la femelle pouvait avoir un ânon toute seule,sans l'aide du mâle.Il s'est esbaudi à se rouler par terre.

    Chez les anciens Egyptiens,la légende courait que la femelle vautour était fécondée par le vent,sans doute le St Esprit.

    Et les savants ont découvert que certains insectes femelles pouvaient se reproduire sans l'aide d'un mâle.C'est ce que l'on appelle la parthénogenèse.Mais aucun cas n'a été observé chez les mammifères.L'homme malgré son intelligence n'échappe pas à cette catégorie animale.

     

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    Résultat de recherche d'images pour "caricature du pape"

     

    Dreuz.info

    JEUDI 12 DÉCEMBRE 2019

     

     

     

     

    Le Pape François et son ami l’imam à double face, un loup islamique déguisé en brebis « chrétienne »

    PUBLIÉ PAR ROSALY LE 11 DÉCEMBRE 2019

     

     

     

    Le 15 novembre dernier, deux des plus éminents représentants du Christianisme et de l’islam, le Pape François et le Cheikh Ahmed al-Tayeb d’Al-Azhar, autrefois qualifié de « musulman le plus influent du monde » se sont rencontrés et fraternellement embrassés.

    Au cours d’une discussion des plus cordiales, les deux leaders religieux ont parlé des objectifs de ce fameux « Document sur la Fraternité humaine» qui fit exulter de joie la planète islamophile de la bien-pensance.

     

    La conversation se focalisa surtout sur «la promotion du dialogue inter-religieux et des valeurs de la tolérance et de la coexistence», deux sujets particulièrement chers au Pape de la mondialisation, des frontières ouvertes à tous et très respectueux de l’islam et des musulmans.

     

    Signé le 4 février dernier par le Pape François et le grand imam d’Al-Azahr, le cheikh Ahmed al-Tayeb, ce document sur « la fraternité humaine pour la paix dans le monde et le vivre-ensemble» (tout un programme digne d’un conte de fée à l’occidentale) « rejette avec force» pour citer « Vatican News» toute justification de la violence perpétrée au nom de Dieu et «affirme» le respect des croyants de différentes confessions, la condamnation de toute discrimination, la nécessité de protéger tous les lieux de culte et le droit à la liberté de religion, ainsi que la reconnaissance des droits des femmes. Bref, l’entente cordiale entre islam et christianisme, l’amorce d’une ère radieuse de justice, de respect, de tolérance et de paix.

     

     

    Hélas, la signature de ce document en grande pompe devant les caméras – qui fut décrit et continue à être présenté comme une promesse historique de fraternité et une avancée historique sans précédent – ne fut qu’un beau show, destiné à donner de l’islam une image idyllique. et une fois de plus à duper les trop crédules kouffars.

     

    L’un des deux signataires, le Dr. Ahmed al-Tayeb a maintes fois contredit, quand il s’exprimait en arabe dans les médias arabes, tous les nobles sentiments soulignés dans le document, au bas duquel il avait apposé sa noble signature de «pieux» musulman, grand adepte de la taqiya, quand il s’agit de « séduire les infidèles».

     

    Le grand imam du Caire «aime» notre bon Pape François, car ce dernier défend l’islam, il fait confiance en son «ami» musulman, à l’inverse de son prédécesseur, le Pape Benoît XVI, grand connaisseur de la fausse religion d’amour, de tolérance et de paix, devenu persona non grata auprès du grand imam d’Al- Azahr, Ahmed al-Tayeb.

     

    Liberté de religion garantie par le Coran, version anglaise pour l’Occident.

    En mars 2016, devant le parlement allemand, le Cheikh al-Tayeb déclara que la liberté de religion était garantie par le Coran. Au Caire, il affirma exactement le contraire …

     

    L’apostat doit renoncer à son apostasie… ou être tué, version arabe en Egypte.

    En 2016, l’Institut du Caire pour les Etudes sur les Droits de l’Homme (The Cairo Insitute for Human Rights Studies) fustigea l’imam «modéré» et «réformateur» d’Al- Azhar et lui demanda de renoncer à faire des déclarations qui s’opposent à une liberté essentielle, à savoir la liberté de religion, et nourrissent la pensée et la prédication extrémistes.

     

    Auparavant, dans son émission télévisée quotidienne diffusée tout au long du ramadan, le Dr Tayeb avait déclaré :

     

     

     

    «l’apostasie contemporaine se présente sous la forme de crimes, d’assauts et de grande trahison, nous la traitons donc maintenant comme un crime qui doit être combattu et puni … Ceux qui ont été instruits dans l’Islam [al-fuqaha] et les imams des 4 écoles de jurisprudence considèrent l’apostasie comme un crime et conviennent que l’apostat doit renoncer à son apostasie ou être tué.»

     

    Pour cet estimé imam «modéré» ceux qui ne suivent pas l’islam sont enclins à devenir des criminels. L’apostasie représente un très grand danger pour la Société islamique, car elle est le résultat de sa haine envers l’islam et le reflet de son opposition à la religion d’Allah, et cela constitue à son avis une haute trahison.

     

    Il cita un hadith pour justifier ses allégations pas très conformes au Document du siècle, autorisant le meurtre d’un musulman dans trois circonstances: l’adultère, l’apostasie et l’assassinat d’un musulman par un musulman. Par contre, le meurtre d’un non musulman par un musulman n’aurait donc pas plus d’importance que le fait d’écraser une mouche ou un cafard.

     

    Selon l’Institut du Caire pour les Etudes sur les droits Droits de l’Homme, le terrorisme et les idéologies radicales ne se combattent pas en s’adressant à l’Occident et à ses institutions internationales de dialogues religieux, en faveur de la paix internationale et du respect des libertés et des droits, tout en promouvant intérieurement des idées, qui contribuent à la diffusion de l’extrémisme violent par le biais des médias et des programmes d’enseignement diffusés par Al- Azhar et les mosquées . Cette conclusion refléta la pensée de nombreux Egyptiens éclairés.

     

    Cette ambiguïté est depuis longtemps le modus operandi de ce Dr Jekyll and Mr Hyde du Caire, alias Ahmed al-Tayeb.

     

    La liberté est un droit…

    Par exemple, le document sur la fraternité humaine qu’il a signé affirme que «la liberté est un droit de chaque personne: chaque individu jouit de la liberté de croyance, de pensée, d’expression et d’action…»

     

    Le fait que les gens soient forcés d’adhérer à une certaine religion, à rejeter leur propre culture, à accepter l’imposition d’un mode de vie culturel qui leur est étrange, ne contredit-il pas les termes de ce beau document sur la fraternité? Le Pape François pensait-il sincèrement en signant ce document de dupes, qu’en terre d’islam, les minorités non musulmanes jouissaient de la liberté de croyance, de pensée, d’expression et d’action?

     

    Respect des croyants de différentes confession… protection de tous les lieux de culte…

    Le document sur la fraternité humaine appelle également au «respect des croyants de différentes confessions, à la condamnation de toute discrimination, à la nécessité de protéger tous les lieux de culte et au droit à la liberté religieuse».

     

    Cependant, comme l’ont souligné plusieurs réformateurs musulmans en Égypte, la «persécution sans précédent», de la minorité chrétienne copte est directement liée à Al-Azhar, l’institution islamique dirigée par al-Tayeb, le second signataire de ce document.

     

    Ainsi, après la destruction de deux églises en Egypte, par des attentats à la bombe, tuant 50 fidèles, Dr. Islam al-Behery – un théologien musulman populaire, dont les appels incessants à réformer l’islam contrarièrent si vivement al-Azahr, qu’il fut accusé de blasphème contre l’islam et condamné à 5 ans de prison ( peine réduite à un an en appel) – révéla, lors de l’émission télévisée égyptienne «Amr Adib’s kull youm» (Every Day), plusieurs détails sur le programme radicalisé d’ Al-Azhar. Selon son estimation, environ 70-80% des actes terroristes commis en Egypte au cours de ces 5 dernières années sont les fruits de l’enseignement « d’amour, de tolérance et de paix » prodigué par Al-Azhar.

     

    Behery cita un texte standard d’Al-Azahr : « quiconque tue un infidèle (un kouffar , un non musulman) son sang sera préservé, car le sang d’un croyant n’est pas égal à celui d’un infidèle, il lui est supérieur.» Admirable modestie de la part de ces frustrés islamiques!

     

    Le prédécesseur d’al-Tayeb, l’ancien grand imam d’Egypte, Cheikh Muhammad Sayyid Tantawi, décédé en 2010, avait fait retirer, sans avoir été prié, tous les vieux livres et les remplaça par un seul ouvrage d’introduction. Quand al-Tayeb, l’ami du Pape François, succéda à l’imam Tantawi, il se débarrassa de ce livre et ramena tous les anciens ouvrages, regorgeant d’histoires de carnages et de bains de sang. Le vert de l’islam mélangé au rouge du sang donne le brun du nazisme.

     

    Respect du non croyant selon Al-Azhar

    Le commentateur politique Dr. Khalid Montaser s’étonna, qu’en cette période particulièrement sensible – quand les terroristes assassins se basent sur des textes et des interprétations islamiques du takfir *, du meurtre et de la décapitation – le magazine d’al-Azahr puisse proposer gratuitement un livre, où chaque page se termine par ces quelques lignes

     

     

     

     

     

    [*takfir: avis juridique donné par un représentant de l’islam, afin de déchoir une personne de sa qualité de musulman, ce dernier devenant ainsi un kouffar, c’est-à-dire un mécréant, un incroyant. Parmi les motifs de takfir se trouvent l’insulte à Allah, l’apostasie, la prosternation devant une statue ou la pratique de sorcellerie, délits passibles de la peine de mort.]

     

    «Nous déclarons fermement que les religions ne doivent jamais inciter à la guerre, à des attitudes haineuses, à de l’hostilité et à l’extrémisme, ni inciter à la violence ou à l’effusion de sang.»

     

    Or, le livre sacré des musulmans abonde de versets et de hadits prônant l’inverse et l’EI a fidèlement obéi aux injonctions coraniques avec apparemment l’aval d’Ahmed al-Tayeb.

     

    Selon le « modéré » Arhmed Al-Tayeb, l’EI n’est pas anti-islamique !

    L’attitude draconienne, extrêmement radicale d’al-Tayeb à l’égard des «infidèles» et des «apostats» contraste avec son refus obstiné de dénoncer l’EI comme anti-islamique. Ce qui n’échappa pas à l’attention de nombreux commentateurs égyptiens.

     

    «C’est incroyable» estima le présentateur égyptien d’un talk-show, Ibrahim Eissa: «Al Azhar insiste sur le fait que les membres de l’EI sont musulmans, mais refuse de les dénoncer, de les condamner. Et pourtant, Al- Azhar ne cesse jamais de lancer des déclarations accusant des romanciers, des auteurs, des penseurs ou quiconque exprime une opinion opposée à la sienne de tomber dans un état d’infidélité. Mais non quand il s’agit de l’EI et pour cause… »

     

    Lors d’une autre interview télévisée, le Dr. Muhammad Abdullah Nasr, érudit en droit islamique et diplômé d’Al-Azhar, dévoila l’alma mater de cette noble institution:

     

    Al Azhar ne peut pas condamner l’État islamique comme étant non islamique. L’État islamique est un sous-produit des programmes d’Al- Azhar. dès lors, , Al- Azhar peut-il se dénoncer lui-même comme non islamique? Evidemment non!

     

    Al-Azhar dit qu’il doit y avoir un califat et que c’est une obligation pour le monde musulman de l’établir.

     

    Al -Azhar enseigne la loi d’apostasie et l’obligation de punir sévèrement l’apostat, voire de le tuer.

     

     

     

    Al -Azhar est hostile envers les minorités religieuses et explique par exemple qu’il est nécessaire de s’opposer à la construction d’églises.

     

    Al -Azhar soutient l’institution de la jizya (extorsion de fonds, argent de protection) exigé des sujets non musulmans. (Une sorte de racket, dont se sont sans doute inspirés les mafias par la suite: protection contre payement d’une certaine somme.)

     

    «Al Azhar enseigne la lapidation.»

     

    Les demandes faites aux «infidèles» par les musulmans de payer la jizya sous peine de mort ne cessent de s’accroître, tandis que l’Occident, plongé dans son angélisme béat, oscille entre sa méconnaissance profonde de la jizya et l’idée séraphique que cet «impôt» de survie islamique imposée aux mécréants est un bel exemple de la grande «tolérance» islamique.

     

    Pour certains pieux musulmans installés en Occident, les allocations sociales dont ils bénéficient, sans devoir fournir le moindre effort, sont un cadeau d’Allah, une sorte de jizya soft, du moins pour l’instant.

     

    Ainsi, de nos jours, alors que les musulmans réclament de plus en plus violemment «leur mythique héritage islamique» souvent encouragés par l’Occident, sous le charme du merveilleux «multiculturalisme» et du magique «vivre ensemble», la jizya, qu’elle soit institutionnalisée comme sous l’EI ou considérée comme une justification halal pour piller les infidèles, est de retour.

     

    En 2013, un prédicateur islamiste britannique, d’origine pakistanaise, l’ ignoble A. Choudary – qui recevait annuellement plus de 25.000 £ en diverses allocations sociales, était logé avec sa famille gratuitement dans un immeuble de luxe et jouissait à l’époque de la protection policière, soi disant suite à menaces islamophobes – traita les contribuables britanniques d’esclaves et expliqua sans honte aucune:

     

    «Nous prenons la jizya, qui est de toute façon notre «haq» (notre droit). La situation normale n’est-elle pas de prendre l’argent des kouffars? Vous, les kouffars, vous travaillez et nous donnez l’argent. Allahou akhbar! Nous prenons l’argent des infidèles. Allahou akhbar!» En d’autres termes, nous, les infidèles, sommes les «vaches à lait» des sujets d’Allah, incrustés dans nos pays et c’est normal, Allah est le plus grand… Des vaches à lait à traire, jusqu’à ce qu’elles ne donnent plus de lait et terminent leur vie dans l’ abattoir halal.

     

    Dans la vidéo montrant l’égorgement de 30 Chrétiens éthiopiens sur une plage en Libye par les sbires de l’EI, leur porte-parole signala plusieurs fois que le payement de la jizya (ce que les pauvres travailleurs migrants éthiopiens ne pouvaient pas payer, ni les 21 malheureux Coptes avant eux, aussi décapités par les égorgeurs de l’EI) était le seul moyen pour les Chrétiens à travers le monde de préserver (momentanément) leur vie, avant de se soumettre et/ou de se convertir à l’islam.

     

    «Mais quiconque refuse [de payer la jizya] ne verra rien de nous que la pointe d’une lance. Les hommes seront tués et les enfants seront réduits en esclavage, et leurs richesses seront prises comme butin. Tel est le jugement d’Allah et de Son messager.»

     

    Les belles traditions de Mahomet et de sa bande de pillards se sont perpétuées au cours des siècles. De nos jours en Occident, nul besoin de se battre, nos gouvernements offrent gracieusement à nos envahisseurs la jizya, payée par les contribuables, corvéables à merci pour la gloire d’Allah.

     

    En 2016, quand l’État islamique envahit les anciennes régions chrétiennes autour de la plaine de Ninive, il déclara à nouveau:

     

    «Nous offrons [aux chrétiens assyriens] trois choix: l’islam; le contrat de dhimmitude, incluant le paiement de la jizya; s’ils refusent cela, ils n’auront rien d’autre que l’épée.»

     

    L’État islamique – qui n’a rien à voir avec l’islam, selon les affirmations ridiculement absurdes de la plupart des politiciens occidentaux – n’est pas le seul à réclamer le payement de la jizya aux «infidèles» chrétiens. En 2002, le cheikh saoudien Muhammad bin Abdul Rahman, tout en discutant de la prédiction du prophète sur la conquête éventuelle de Rome, déclara: «Nous contrôlerons la terre du Vatican, nous contrôlerons Rome et y introduirons l’islam. Et les Chrétiens … nous payeront la jizya dans l’humiliation ou ils se convertiront à l’islam.»

     

    Dans une vidéo postée en 2015, le cheikh palestinien Issam Amira , au cours d’un sermon à la mosquée d’Al -Aqsa, déplora que trop de musulmans pensaient que le djihad n’était que défensif et ne devait être mené que pour se défendre contre les agresseurs. Erreur monumentale selon ce brave imam! Le djihad offensif est préventif, il doit être mené contre les non musulmans, afin d’éliminer dans l’oeuf toute velléité guerrière de leur part et ainsi protéger l’Oumma. Ou quand la paranoïa islamique gangrène la cervelle des fidèles d’Allah.

     

    «Quand vous rencontrez vos ennemis païens, appelez-les soit à se convertir à l’islam et à payer la jizya, soit combattez-les avec l’aide d’Allah. Même s’ils ne vous combattent pas ou n’engagent aucune hostilité envers vous, combattez-les! … Combattez-les! Quand? Quand ils vous combattent? Non, quand ils refusent de se convertir à l’islam ou de payer la jizya … Que cela leur plaise ou non, nous les asservirons à l’Autorité d’Allah.»

     

     

     

     

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    A part cela, l’islam regorge d’amour et de fraternité envers les non musulmans. «Bienheureux» ceux qui se laissent duper par cette «religion» de soumission, d’humiliation, de mort, Allah les récompensera à sa manière…

     

    L’EI ne fait qu’appliquer les enseignements d’Al-Azhar

    Quand la planète entière fut choquée en 2015 par la vue du pilote jordanien, enfermé dans une cage, en train de brûler vif, vidéo tournée avec jubilation par les pieux musulmans de l’EI, le journaliste égyptien Yusuf al-Husanyi déclara: «l’EI ne faisait qu’appliquer les enseignements d’Al-Azhar.»

     

    Sans l’entité sioniste dans la région, ce serait le paradis

    En réponse à toutes ces critiques, al-Tayeb accusa … son ennemi mortel … Israël. Au cours d’une interview télévisée en mars 2018, il déclara:

     

    «Ils nous disent toujours que le terrorisme est islamique. Tous ces porte-paroles, qui croassent, soit par ignorance, soit pour avoir cru que les enseignements d’Al-Azhar sont la cause du terrorisme, ne parlent jamais d’Israël, des prisons israéliennes, des génocides perpétrés par l’entité sioniste … Sans les abus commis dans la région par l’entité sioniste, il n’y aurait jamais eu aucun problème.»

     

    Si je comprends bien ce grand « esprit éclairé» d’Al-Azhar, apparemment très «in love» avec Israël, pour que les peuples du Moyen-Orient puissent enfin vivre dignement, dans l’enchantement, la félicité, l’extase, la fraternité, la paix, la sérénité, la justice sociale … Israël doit disparaître de la région.

     

    Il n’y aura plus d’attentats meurtriers entre les frères ennemis de l’Oumma, mais une grande fraternité baignée d’amour … entre Chiites et Sunnites, après 14 siècles de guerres fratricides. A noter que «l’entité sioniste» n’a retrouvé sa terre ancestrale, qu’en 1948, après 2.000 ans d’errance de son peuple, alors que les musulmans n’ont jamais cessé de s’entre-tuer depuis la mort de leur prophète bien-aimé au VIIe siècle. Mais la vérité historique n’a jamais été le thème de prédilection des musulmans, par contre, le mensonge, l’affabulation, la victimisation sont leurs sujets favoris et ils excellent en la matière, notamment en la réécriture de l’histoire d’un pays, d’un peuple, qu’ils convoitent avec avidité.

     

    Tel est le vrai visage d’al-Tayeb, du moins dans son pays, là où il s’exprime librement et franchement en arabe, bien éloigné de l’image de l’interlocuteur modéré, réformiste, souriant, amical, l’imam du dialogue inter-confessionnel vivement apprécié par les naïfs dirigeants européens et le Pape François, si désireux de croire ce qu’ils veulent entendre, plutôt que de voir la réalité en face et l’affronter courageusement.

     

    Dès lors, la signature d’al-Tayeb apposée sur le «Document sur la Fraternité humaine pour la paix dans le monde et le vivre ensemble» n’a aucune valeur et ne mérite certainement pas l’effervescence joyeuse, encore moins l’espoir béat suscités lors de sa signature.

     

    Mais la situation s’avère être pire encore : si al-Tayeb est un loup déguisé en brebis, le Pape François est un doux pâtre, un grand rêveur, conduisant son troupeau vers l’abattoir islamique, les yeux pleins d’étoiles et de croissants de lune.

     

    Il serait grand temps qu’il cesse de jouer le rôle «de la colombe inoffensive» et devienne aussi «sage qu’un serpent», à savoir «intelligent, plein de bon sens, prudent, avisé, rusé.» ne serait-ce que pour les millions de Chrétiens persécutés sous le joug de l’islam … et pour la survie de l’Eglise, dont il est le Pasteur, dangereusement menacée par cette belle religion d’amour, de tolérance et de paix qu’est l’islam.

     

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

     

    Sources:

     

    «The Two-faced Muslim Leader that Pope Francis Loves and Trusts»

     

    «Islamic Jizya: Fact and Fiction» ( (by Raymond Ibrahim – FrontPage Mag) (traduit et commenté par Rosaly)


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     (Source Média Presse Info)

     

    Le « chemin synodal » allemand associant religieux et laïcs qui s’est ouvert le premier dimanche de l’Avent, devrait prôner une ouverture en faveur de l’homosexualité.

     

    Le cardinal Reinhard Marx, prélat très actif dans l’innovation doctrinale, membre du conseil restreint de la Curie, le C8, et proche du pape François, qui vient d‘ailleurs de le nommer à la tête de la spending review (l’examen des dépenses) du Vatican, tient les rênes de ce Synode interne à l’Église d’Allemagne. Un Synode qui par les thèmes abordés et la direction nettement progressiste annoncée fait déjà parler de lui. Et même si Rome, par le biais du cardinal Marc Ouellet, préfet de la Congrégation pour les Évêques, a timidement mis quelques restrictions, en rappelant que certaines décisions ne peuvent être prises que par toute l’Église, il n’y a pas vraiment d’affrontement, et les clercs teutoniques peuvent être assurés d’avoir les coudées franches. La famille théologique progressiste d’outre-Rhin entretient en effet de parfaits rapports avec El papa d’outre-Atlantique. Le cardinal Kasper reste une référence centrale pour Jorge Bergoglio.

     

     

     

    Marx et ses amis militent depuis longtemps pour la laïcisation de la gestion paroissiale, pour l’inter-communion entre protestants et chrétiens-catholiques, pour une reconnaissance des mœurs homosexuelles comme normales, pour une remise en cause du célibat sacerdotal et pour une extension du ministère ecclésial aux femmes. Des diaconesses aux sacrements célébrés par les laïcs, en passant par la bénédiction des duos d’invertis, certains évêques allemands y travaillent.

     

    Déjà la Conférence épiscopale d’Allemagne, souligne Lifesitenews, a considéré l’homosexualité, afin d’en dédouaner sa pratique, comme « une forme de prédisposition sexuelle » parmi d’autres, « aussi normale que l’hétérosexualité » et a spécifié « qu’aucune attirance sexuelle ne devrait être modifiée »  ! Sur les bases d’Amoris Laetitia, deux prélats allemands ont redimensionné l’adultère en enseignant que « les relations sexuelles après un divorce ne sont ni gravement coupables ni un obstacle à la réception de la sainte communion ».

     

     

     

    L’Église d’Allemagne est indubitablement une des plus néo-modernistes et néo-protestantes du monde conciliaire, avec une influence sur le reste de l’Église officielle qui ne faiblit pas : 50 ans après le concile Vatican II, le Rhin continue à se jeter dans le Tibre…

     

    Francesca de Villasmundo

     

     

     

     

     


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    Plus de 40 ans de prison pour deux prêtres qui violaient des enfants sourds et muets

    Agence France-Presse| Publié le 25 novembre 2019 à 15:20 - Mis à jour le 25 novembre 2019 à 15:30

    Deux prêtres ont été condamnés lundi à plus de 40 ans de prison pour avoir violé durant des années des enfants sourds et muets dans un institut spécialisé dans l'ouest de l'Argentine, une affaire qui secoue le pays du pape François.

     

    L'Argentin Horacio Corbacho a été condamné à 45 ans de prison et Nicola Corradi, un curé italien qui vit en Argentine depuis 1970, à 42 ans, selon la décision rendue publique lundi à l'audience.

     

    Au cours de ce procès, qui s'est ouvert début août à Mendoza (ouest) et s'est tenu depuis à huis clos, 43 dossiers ont été examinés et 13 victimes entendues, dont certaines ont été violées entre l'âge de 4 ans et celui de 17 ans. Pour la justice, 25 dossiers sont considérés comme des cas d'abus sexuels.

     

    Accusés de viols, corruption de mineurs et mauvais traitements, ils encouraient jusqu'à 50 ans de prison.

     

    Dans les deux cas, le fait que les victimes étaient mineures au moment des faits, qu'elles étaient placées sous la responsabilité des auteurs, qu'elles vivaient sous le même toit qu'eux et que les condamnés étaient des représentants religieux ont été considérés comme des circonstances aggravantes.

     

    M. Corbacho, 59 ans, et M. Corradi, 83 ans, étaient avant le procès en détention provisoire.

     

    Le tribunal de Mendoza a également condamné à 18 ans de prison le jardinier du centre, Armando Gomez, pour viol.

     

    Deux des trois accusés sont arrivés à l'audience menottés et escortés par des policiers, tandis que Nicola Corradi se trouvait dans un fauteuil roulant poussé par une femme en uniforme, a constaté l'AFP.

     

    «Ils sont démoniaques»

    «Je pense que tout à l'intérieur de l'Église est faux. Tout ce qu'ils nous font lire, réciter, la façon dont doit se comporter une personne. Je pense qu'ils mentent et qu'ils sont démoniaques», avait confié début août à l'AFP une des victimes, Ezequiel Villalonga, dans la langue des signes, peu avant l'ouverture du procès.

     

    Ce n'est qu'une fois adulte qu'Ezequiel a pu apprendre la gestuelle pour communiquer, car cet établissement catholique spécialisé ne lui avait pas appris la langue des signes.

     

    «La vie là-dedans était terrible. On n'apprenait rien, on ne communiquait pas entre nous, on ne connaissait pas la langue des signes. On écrivait sans savoir ce que ça voulait dire, on demandait alors à d'autres camarades, mais personne ne comprenait rien», avait-il ajouté.

     

    Rassemblées devant le tribunal, plusieurs victimes ont sauté de joie, levé les bras en signe de victoire et fait tourner des mouchoirs orange à l'énoncé du verdict. «Soutien aux survivants du Provolo», «Oui, moi je te crois» ou «N'oublions pas!», pouvait-on lire sur les pancartes.

     

    Dans cette vaste affaire, un ancien sacristain, Jorge Bordon, 50 ans, a déjà été condamné l'an dernier à 10 ans de prison après avoir reconnu avoir abusé sexuellement cinq victimes. Une quinzaine d'autres accusés doivent être jugés au cours de deux autres procès.

     

    Autres plaintes

    L'institut Provolo, situé au pieds des Andes, à Mendoza, à 1 000 km à l'ouest de Buenos Aires, a été fermé en 2016, lorsque le scandale a éclaté.

     

    Ce grand bâtiment en briques au toit vert, fondé en 1995, accueillait gratuitement des élèves sourds et muets d'origine modeste qui étaient internes et retournaient chez eux le week-end.

     

    Nicola Corradi est arrivé en Argentine en provenance de l'institut Provolo de Vérone, en Italie, également secoué ces dernières années par un scandale similaire de pédophilie, et a pris en charge le «Provolo» de La Plata (60 kms au sud de Buenos Aires).

     

    En 1998, il est transféré à Mendoza, où il reste à la tête de l'institution jusqu'à son placement en détention provisoire en novembre 2016.

     

    D'autres plaintes concernant l'Institut Provolo de La Plata sont actuellement en cours d'instruction.

     

     

    Une des responsables l'ONG Bishop Accountability (responsabilité des évêques), Anne Barrett Doyle, avait estimé en mai à Buenos Aires que lorsque le pape François, Jorge Bergoglio, était archevêque de Buenos Aires, il «ne pouvait pas ne pas savoir». «En 14 ans comme archevêque de Buenos Aires, il a seulement envoyé deux dossiers au Vatican concernant des abus sexuels».






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