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    Violences sexuelles : 11 évêques ou anciens évêques «mis en cause» devant la justice civile 

    Mgr Ricard, ancien évêque de Bordeaux, a notamment reconnu une conduite « répréhensible » sur une mineure il y a trente-cinq ans.

     

     

     

    Le 7 novembre 2022 

    Onze évêques ou anciens évêques ont été « mis en cause » devant la justice civile pour des signalements, a annoncé ce lundi Éric de Moulins-Beaufort, lors d’un point presse de la Conférence des évêques à Lourdes. « Il y a aujourd’hui six cas d’évêques qui ont été mis en cause devant la justice de notre pays ou devant la justice canonique (droit de l’Église) », a déclaré le président de la CEF.

     

    « Deux autres, qui ne sont plus en fonction, font l’objet d’enquêtes aujourd’hui de la part de la justice de notre pays après des signalements faits par un évêque et d’une procédure canonique ; un troisième fait l’objet d’un signalement au procureur auquel aucune réponse n’a été donnée à ce jour et a reçu du Saint-Siège des mesures de restriction de son ministère », a-t-il encore souligné.

     

    Mineure de 14 ans

    Il a indiqué que le cardinal (Jean-Pierre) Ricard, ancien évêque de Bordeaux, était aussi concerné. Ce dernier a reconnu une conduite « répréhensible » sur une mineure de 14 ans, il y a trente-cinq ans, a ajouté le président de la CEF, lisant un message de ce dernier.

     

     

    S’ajoute enfin Mgr Michel Santier, sanctionné en 2021 par les autorités du Vatican pour des « abus spirituels ayant mené à du voyeurisme sur deux hommes majeurs » dans les années 1990 et dont le silence autour de sa sanction a provoqué ces dernières semaines une vive colère chez les catholiques et les collectifs de victimes.

     

    «Grande diversité des situations»

    Sans entrer dans les détails, Éric de Moulins-Beaufort a insisté « sur la grande diversité des situations, des faits commis ou reprochés ».

    (Source: journal Le Parisien)

     

     

     


  •  Le massacre de la Saint-Barthélemy | Gallica vous conseille 

    LA SECTE MORTIFERE CATHOLIQUE

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    Massacre de la Saint-Barthélemy : assassinat à Paris des protestants par les catholiques, le 24 août 1572,jour de la st Barthélémy .

    Ce massacre extermine tous les protestants dans Paris et s'étend ensuite dans une vingtaine de villes en province

     

     

    Les guerres des catholiques contre les protestants guerres de la secte catholique  ont marqué le XVIe siècle en France et en Europe. 

     

    Les protestants sont les  victimes du massacre de la Saint-Barthélemy. Les hommes,  les femmes et les enfants, sont massacrés dans des conditions abominables. Coligny est le premier à être assassiné ; son corps est trainé dans les rues de Paris. Les catholiques organisent une curée, et tuent arbitrairement et sommairement tous les protestants de Paris, allant jusqu'à entrer dans leurs domiciles et à les assassiner dans leur lit. On estime à plus de 30 000 le nombre de huguenots tués le 24 août 1572, puis dans toute la France. En effet, si le roi de France fait cesser le carnage dans Paris dès le lendemain, la nouvelle se répand et plusieurs villes vont ensuite imiter la Capitale comme Orléans, Meaux, Bourges, Saumur, Angers, Lyon, Troyes, Rouen, Toulouse, Bordeaux…

     

     

    Face à la pression et à l'influence croissante des catholiques intransigeants sur la monarchie, l'édit de Saint-Germain, qui a mis fin à la troisième guerre de religion, est aboli. La quatrième guerre de religion est déclenchée par ce massacre. Le protestantisme est interdit dans le royaume, tandis que les huguenots sont persécutés par le pouvoir, exécutés ou contraints de se convertir au catholicisme. C'est le cas d'Henri de Navarre, futur Henri IV, qui doit abjurer le protestantisme. 

     

     

     


  • Présumés inconduites sexuelles: le cardinal Marc Ouellet visé par une  action collective | 24 heures 

     

    Un cardinal canadien, homme fort du Vatican, accusé d'agressions sexuelles

    Dylan VEERASAMY avec AFP

    Publié hier à 23h17

    JT Perso

     

    Source : JT 20h Semaine

    Le cardinal Marc Ouellet a été accusé d'agressions sexuelles au Canada, à travers une action collective.

    Une femme a assuré, dans une lettre, que l'homme de foi avait eu des gestes déplacés entre 2008 et 2010.

    Le diocèse du Québec ne souhaite "faire strictement aucun commentaire à ce sujet".

    C’est une nouvelle onde de choc qui frappe l’Église catholique et le Vatican. Le cardinal Marc Ouellet, qui occupe l'une des fonctions les plus importantes du gouvernement du Vatican, est accusé d'agressions sexuelles dans une action collective rendue publique, ce mardi 16 août, au Canada et visant plus de 80 membres du diocèse de Québec.

     

    Un potentiel successeur du Pape François

    Qualifié d’"homme fort du Vatican, pressenti pour succéder un jour au pape François" par Radio-Canada, Marc Ouellet a été signalé à travers une lettre rédigée par une stagiaire présente entre 2008 et 2010. La victime, qui a signé sa lettre d’un simple "F.", raconte avoir subi plusieurs agressions et attouchements de la part du cardinal canadien. Elle raconte notamment que Marc Ouellet l'aurait "embrassée" et aurait "glissé sa main" le long de son dos "jusqu'à ses fesses" en 2010.

     

    Des gestes effectués à plusieurs reprises par le cardinal, qui aurait profité de son rôle, selon l’avocat Alain Arsenault, représentant de nombreux plaignants. "Vous avez à ce moment-là une jeune femme dans la mi-vingtaine contre un homme puissant en autorité, connu mondialement à l’époque, qui avait peut-être 60 ans. [...] Comme la majorité des victimes, elle a figé", a indiqué l'avocat à Radio-Canada.

     

     

    Ce témoignage est dévoilé près de trois semaines après le passage du souverain pontife au Canada, où ce dernier s’était excusé pour les nombreux abus perpétrés par l’Église sur les populations autochtones, notamment dans des pensionnats pour membres de la communauté autochtone. En février dernier, depuis le Saint-Siège, le cardinal Ouellet avait fustigé les "comportements criminels trop longtemps dissimulés pour protéger l'institution".


  •  Tympan de Conques

    Le Vatican de nouveau éclaboussé par un scandale financier

     Des placements immobiliers de luxe ont été effectués avec de l'argent destiné aux œuvres caritatives de l'Église. Un scandale qui commence à Londres et qui a été accéléré par… le Brexit.

     

     

    Par Éric Sénanque, à Rome

    Publié le 22/10/2019 à 07h28 - Modifié le 23/10/2019 à 07h18

    C'est un nouveau scandale financier dont le Vatican se serait bien passé. Au début de l'été, le pape François a été averti qu'un vaste système d'opérations frauduleuses venait d'être découvert au cœur du plus petit État du monde. Une plainte a en effet été déposée par le IOR (l'Institut pour les œuvres des religions), la banque du Vatican, « concernant des transactions financières effectuées dans le passé », explique alors sommairement un communiqué du Saint-Siège, sans que l'on en sache plus.

     

    Cette semaine, l'hebdomadaire L'Espresso a révélé plus en détail l'ampleur de cette affaire sulfureuse. Selon l'enquête du magazine italien, des centaines de millions d'euros auraient été investis grâce à des montages financiers opaques, « comme si le Vatican était une banque d'affaires dans un pays offshore », précise le magazine.

     

     

     

    Un investissement en particulier attire l'attention : celui d'un immeuble de haut standing à Londres, en plein quartier chic de Chelsea. L'affaire remonte à 2012. À l'époque, un financier italien, Raffaele Mincione, est mandaté par le Vatican pour investir dans une société pétrolière en Angola. L'affaire finit par capoter et Mincione propose de placer la somme dans l'immobilier londonien, via son fonds d'investissement basé au Luxembourg. 182 millions d'euros sont déboursés pour l'acquisition de 17 000 mètres carrés d'appartements de luxe.

     

    Mais ce qui fait désordre est la nature des fonds apportés par le Vatican. Ils auraient pour large partie été ponctionnés dans le denier de Saint-Pierre, qui sert à financer les œuvres caritatives du pape à travers le monde ! L'argent des pauvres dormait dans les caisses du Vatican et servait donc à financer des placements peu cohérents avec la doctrine sociale de l'Église.

     

     « On assiste à un effondrement du système de pouvoir catholique »

     

     

    Un homme est désormais au centre de l'attention : le cardinal Giovanni Becciu. Homme-clé de la Curie, ce Sarde de 71 ans était jusqu'à l'an dernier le numéro deux de la puissante secrétairerie d'État du Saint-Siège, et avait la main sur toutes les affaires internes au Vatican. Nonce apostolique en Angola dans les années 2000, c'est lui qui aurait soufflé l'idée d'origine de ces investissements opaques, selon L'Espresso.

     

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    Nouvelle-Zélande: démission d'un évêque à la suite d'une plainte d'ordre sexuel

     

    Airs de polar

     

     

    Le 1er octobre dernier, une perquisition de la gendarmerie vaticane a lieu dans les locaux de la secrétairerie d'État. Des documents et du matériel informatique sont saisis. L'affaire prend ensuite des airs de polar : quelques jours après la perquisition des gendarmes circule une affiche montrant les visages de cinq employés du Vatican sous enquête judiciaire. Signée par le commandant de la gendarmerie vaticane, elle a été envoyée à tout le personnel interne de l'État et aux gardes suisses qui contrôlent la sécurité et les accès du Vatican. On se croirait dans un western. Jamais dans l'histoire vaticane, où règne d'ordinaire la discrétion, une telle note de service n'a été publiée. Le document fuite dans L'Espresso. Le pape François lui-même s'émeut qu'on ait pu dévoiler ces noms au grand public et le chef des gendarmes est poussé à la démission.

     

    Parmi les cinq personnes arrêtées, deux retiennent l'attention : Mgr Mauro Carlino, ancien secrétaire personnel du cardinal Becciu et qui dirige le bureau d'information et de documentation de la secrétairerie d'État, mais surtout Tommaso Di Ruzza, qui n'est autre que le directeur de l'Autorité d'information financière, une structure mise en place fin 2010 par Benoît XVI et censée justement renforcer la transparence financière !

     

    Ce scandale va finalement être mis au jour grâce… au Brexit. À la suite d'incertitudes en Grande-Bretagne, la valeur patrimoniale de l'immeuble londonien s'effondre. En 2018, le cardinal Becciu quitte la secrétairerie d'État. Son successeur, l'archevêque vénézuélien Edgar Peña Parra, décide de racheter les parts encore détenues par Mincione dans les appartements de Chelsea. Il demande pour cela un financement à l'IOR, la banque vaticane. Mais son directeur y flaire une opération opaque et la dénonce aux procureurs du Vatican, qui ouvrent une enquête.

     

    Cette affaire vertigineuse pourrait connaître de nouveaux épisodes, car L'Espresso évoque des sommes de plus de 600 millions d'euros qui auraient transité dans d'autres opérations immobilières, notamment à Paris. Malgré la volonté du pape François de réformer les finances vaticanes, la route vers la transparence est encore longue. Et les résistances à l'intérieur du Vatican sont fortes. L'AIF n'a, pas exemple, d'autorité que sur les flux de l'IOR, mais pas sur la secrétairerie d'État, une anomalie que souhaite corriger le souverain pontife. À de nombreuses reprises, le pape argentin a dénoncé les dérives de l'argent-roi. Fidèle à son style imagé, il a même plusieurs fois employé l'expression de « fumier du diable ». Une odeur dont les relents désagréables planent encore sur le Vatican

    (Le Point)


  • Crise historique à l'ordre de Malte 

     

    L'Ordre des Chevaliers de Malte aujourd’hui est un des facteurs déterminants qui permettent de comprendre l'influence que le Vatican a su développer au cours de son histoire. Les chevaliers de Malte se définissent comme l'Ordre Souverain Militaire de Malte, ils ont joué un rôle prépondérant dans l’histoire moderne. C'est une organisation internationale, qui a des ramifications dans toutes les couches de la société, le commerce, la politique, les banques, les services secrets, l'Église, le monde de l'éducation, l'armée, la loge P2, l'ONU, l'Otan, etc.

    Les chevaliers de Malte ont leur propre constitution, ils ont juré de soutenir les membres du Nouvel Ordre Mondial

    Cet ordre n'est pas la plus ancienne société secète, mais une des plus anciennes branches de la société secrète "Order of the Quest" JASON Society, qui existe toujours à l'heure actuelle. Le président de l'ordre de Malte est élu à vie, avec l'accord du pape. Les chevaliers de Malte ont leur propre constitution, ils ont juré de soutenir les membres du Nouvel ordre mondial qui soutiennent le pape. La plupart de ses membres sont membres du CFR et des autres organisations secrètes.

    Dans les années 30, les chevaliers de Malte ont recruté le génénéral Smedley Butler, adin d' avoir une influence sur la prise du pouvoir à la Maison Blanche. Il était bien introduit dans la hiérarchie militaire, ce qui était un argument de première importance. Mais le général a vendu la mèche et a donné le nom des comploteurs. À leur tête se trouvait Raskob, un des fondateurs des chevaliers de Malte aux Etats-Unis et leur trésorier. Il était également président du conseil d'administration de la General Motors, le plus grand complexe industriel du monde. Il y a eu une commission d'enquête au Congrès, mais aucun des protagonistes cité n'a été condamné, Raskob non plus. Malgré le fait quel'on trouve ces informations dans les archives du Congrès, elle n'ont jamais été reprises dans un livre d'histoire ce qui montre bien l'étendue de l'influence de cette organisation.

    Il est intéressant d'observer les analogies entre le scandale de l'Irangate et ce complot des années 30. William Casey était un chevalier de Malte, et avec l'aide de George Bush, d'Anne Armstrong et de Ronald Reagan, il réussit affaiblir le conseil de surveillance des services secrets pour les Affaires étrangères de telle sorte que lui-même, Bush et North purent traiter leurs affaires en toute illégalité, sans être détectés. Ils avaient également élaboré un plan pour modifier la Constitution, ce qui fut révélé à la commission du Congrès. Mais le président du Congrès, le sénateur Daniel Inouye, de Hawaii, ne leur en tint pas rigueur.

    W. Casey a été chef de la CIA, membre du CFR et chevalier de Malte. Il était la tête pensante de la campagne électorale de Reagan, à la tête de la commission boursière et directeur de la banque du commerce extérieur pendant la présidence de Nixon. C'est Casey qui a organisé le financement des usines de poids lourds Kama en Union Soviétique, subvention à 90 % par le contribuable américain. Cette usine construisait des camions et des moteurs de chars pour les Soviétiques, elle était et est sans doute encore la plus grande usine de genre au monde. Elle produit plus de poids lourds que les usines de poids lourds américaines réunies. Casey a été assassiné plus tard...

    Le Vatican a été infiltré par les Illuminati il y a fort longtemps et ce sont eux qui sont à la tête du vatican désormais. Le nom de ROMA, la ville où se trouve le Vatican, est le AMOR à l'envers. ROMA l'envers de l'amour, capitale de l'empire romain et du nouvel empire chrétien, le représentant de Dieu. C'est la ville des Illuminati par excellence. L'affirmation que le Vatican a été infiltré par les Illuminati et les Francs-maçons est renforcé par le fait que le pape Clément XII a édicté en 1738 une bulle qui précisait que tout catholique qui faisait partie de la franc-maçonnerie serait excommunié. Pour un croyant sincère, c'était une punition sévère. En 1884, le pape Léon XIII a fait une déclaration qui accusait la franc-maçonnerie d'être une société secrète, qui voulait "faire revivre les comportements et les coutumes des païens" et "établir le royaume de Satan sur terre".

    Pier Compton décrit dans son livre "La croix brisée", de façon précise, comment les Illuminati ont infiltré le Vatican. L'oeil qui voit tout à l'intérieur du triangle est un symbole luciférien utilisé abondamment par les responsables catholiques et jésuites. On le retrouve dans le logo du Philadelphia Eucharistic Congress de 1976, et sur un timbre du Vatican de 1978, avec la description symbolique de la prise de pouvoir réussie des Illuminati. Compton relate que l'oeil qui voit tout à l'intérieur du triangle était gravé sur la croix personnelle du pape jean XXIII. Il révèle de plus que des centaines de prêtres, d'évêques et de cardinaux sont membres de sociétés secrètes. C'est valable pour le secrétaire privé du pape, le directeur général de Radio Vatican, l'archevêque de Florence, le prélat de Milan, l'éditeur du journal du Vatican, le responsable de l'ordre des Bénédictins. Ces personnes sont celles qui sont connues en Italie, sans parler de ceux qui sont membres de la fameuse loge P2. Le premier ambassadeur américain au Vatican s'appelait William Wilson, il était chevalier de Malte. Son accession à ce poste était entachée d'illégalité et contraire à l'éthique, puisqu'il avait juré obédience au pape et qu'il ne pouvait donc pas être en même temps le représentant des États-Unis.

    Malgré l'embargo décrété contre la Libye par Ronald Reagan, Wilson s'est rendu dans ce pays et a rencontré de hauts responsables. Le State Department a toujours nié cette visite. L'embargo n'a pas empêché de grandes compagnies pétrolières américaines de faire des affaires en Libye. Une de ces compagnies, dont plusieurs membres sont chevaliers de Malte, était représentée par Peter Grace, son président. Wilson aurait dû être limogé après son voyage en Libye mais on le retrouve à la messe de Pâques papale à côté du ministre américain des Affaires étrangères, George Schultz, et sa femme. En langage diplomatique, cela signifie que son acte a été apprécié. George Schultz est évidemment membre du CFR, il est également membre du Bohemian Club et de la Bechtel Corporation, qui ont des liens étroits avec les Skull& Bones et les chevaliers de Malte. Myron Taylor, chevalier de Malte, était conseiller du président Roosevelt, John McCone, chevalier de Malte également, était celui de J. Kennedy. Il était aussi chef de la CIA au début des années 60. Robert Wagner, un autre chevalier de Malte, était conseiller de Jimmy Carter. George Bush a nommé Th. Medley, chevalier de Malte, au poste d'ambassadeur au Vatican.

    Ronald Reagan a tenu un discours à l'assemblée annuelle des chevaliers. La plupart des membres de cette organisation profitent de l'immunité diplomatique, ce qui facilite grandement les opérations de l'Ordre. La colonne vertébrale des chevaliers de Malte est la noblesse. La moitié de leurs 10.000 membres appartient aux plus vieilles famillles d'Europe, ils renforcent ainsi le lien entre la Noblesse Noire et le Vatican. À la tête de la Noblesse Noire on trouve la famille qui a pu prouver son lien de parenté avec le dernier empeureur romain, les Habsbourg! Le Vatican a fondé dans le New jersey le centre Jean Paul II pour la prière et la recherche de la paix. C est Elmer Bost, mort en 1978, qui a légué la maison, par l'entremise de l'archevêché de New York. Bobst était multimillionnaire et dirigeant de la Warner Lambert Company. Les directeurs successifs du centre ont été Kurt Waldheim, ex-secrétaire général de l'ONU, impliqué dans les crimes de guerre nazis, Cyrus Vance, ancien ministre des Affaires étrangères sous Jimmy Carter, membre du CFR et de la TC, Clare Booth Luce membre des chevaliers de Malte, et Peter Grace, président des chevaliers de Malte aux États-Unis. Le centre fait partie du nouveau plan de paix papal qui doit contribuer à l'unification du monde. Voici les 3 principaux objectifs attribués au centre:

    1. Éducation et préparations des catholiques et de leurs enfants à accepter le nouvel ordre mondial.

    2. Devenir le siège du grand ordinateur de la paix, pour surveiller et trouver des solutions aux problèmes qui mettraient en danger la paix mondiale.

    3. L'ordinateur est chargé de trouver les solutions adaptées aux problèmes qui pourraient se poser.

    Les grandes nations ont donné leur accord et ont transféré une part de leur souveraineté au pape. Mais d'abord il faut instaurer ce nouvel ordre mondial. Il y a plusieurs indices qui montrent qu'il a vu le jour, en secret, le 19 janvier 1989. Comparons les enseignements de jésus avec les préceptes des Illuminati, et avec l'extrait suivant : le Vatican a confirmé publiquement à maintes reprises que le pape "est un fervent défenseur du désarmement, qu'il appuie l'élimination de la souveraineté des nations, qu'il est d'avis que les droits de propriété fonciers ne sont pas des droits légitimes et que seul, lui, est en mesure de décider ce qui est bon ou non pour l'humanité".

    Jetons un oeil sur le parcours de Jean-Paul II. Bill Coopers dans son livre "Behold a Pale Horse", écrit la chose suivante : "Au début des années 40, I.G. Farben engage un Polonais qui avait vendu du cyanure aux nazis. Ce vendeur avait même participé à l'élaboration du produit en tant que chimiste. Après la guerre, de peur d'être accusé de crimes de guerre, ce vendeur est entré dans l'Église catholique, il a été ordonné prêtre en 1946. Un de ses plus fidèles amis s'appelait Dr. Wolf Schmugner, celui qui a mis au point la campagne de vaccination contre l'hépatite B, entre novembre 1978 et octobre 1979, et entre mars 1980 et octobre 1981, à travers le Centre of Disease Control. Cette campagne a eu lieu à New York, à San Francisco et dans quatre grandes villes américaines, elle a sans doute contribuer à faire exploser le SIDA sur le continent nord-américain.

    Ce vendeur de cyanure est devenu le plus jeune évêque polonais en 1964, et après les 30 jours de régence de son prédécesseur assassiné, il est devenu le pape jean Paul II en 1978. Ce qui veut dire que 1990 était la bonne année, avec les bons dirigeants : l'ancien chef du KGB M. Gorbatchev, l'ancien chef de la CIA et membre du Comité des 300, George Bush, l'ancien vendeur de cyanure, jean Paul II , tous ensemble, composant la régence la moins en odeur de sainteté que l'on puisse imaginer sur le chemin du nouvel ordre mondial.

    "Le président américain George Bush et le président soviétique Gorbatchev sont arrivés hier sur cette île de la Méditerranée, pour une conférence au sommet qui commence aujourd'hui. Tous deux espèrent que cette rencontre scellera le début du nouvel ordre mondial". (New York Times, 1er décembre 1989).

    Il n'existe pas d'indices qui prouvent que Jean Paul II n'est pas lui-même membre des Illuminati. C'est lui qui a annulé la bulle contre les Francs-maçons, le 27 novembre 1983, et qui a permis à des catholiques de pouvoir à nouveau devenir membre d'une société secrète, sans craindre d'être excommuniés. Il a lancé un défi aux responsables mondiaux, en affirmant que les hommes avaient reconnu l'autorité absolue du Vatican en acceptant sans contester les décisions du Concile de Laodicée de 364 ap. J.C.

    Le 12 décembre 1984, le Los Angeles Times cite le pape : "Pour l'absolution de vos péchés ne vous tournez pas vers Dieu, venez à moi"!

    C'est un pur blasphème! Le pape se met au-dessus du dieu des chrétiens. Ainsi s'accomplit la prédiction de l'Apocalypse de Saint jean. Les Illuminati sont arrivés à l'un de leurs objectifs, mettre un des leurs sur le trône de "Saint Pierre". La prise de pouvoir au Vatican a été symbolisée par la tiare du pape qui a été offerte à la ville de New York en 1964.

    Nous ne pouvons pas passer sous silence les Bilderberger, car le prince Bernard Lippe-Biesterfeld des Pays Bas, ancien SS de haut rang, le fondateur des Bilderberger, est la seule personne qui puisse opposer son veto à l'élection d'un pape au Vatican. Pourquoi? Parce que sa lignée, les Habsbourg, sont les descendants directs du dernier empereur romain. Le prince Bernard, dit-on, préside la Noblesse Noire.

    Il prétend être un descendant de la famille de David, donc de Jésus. Le cercle intérieur des Bilderberger est constitué de trois commissions, composées chacune de treize personnes, c'est donc un noyau dur de 39 Illuminati. Les trois commissions représentent les trois composantes des Illuminati : les Francs Maçons, le Vatican et la Noblesse Noire. Il convient d'ajouter que les Francs-Maçons ont été phagocytés par les Khasars, au moins depuis les Illuminés de Bavière d'Adan Weishaupt. On trouve le symbole du rite écossais de la maçonnerie, la croix inclinée à l'intérieur d'une couronne, dans beaucoup d'églises et que la Noblesse Noire est infiltrée par les khazars depuis le 17'ème siècle. 

    L'épée et le missel

    L'ordre de Malte pourrait être symbolisé par trois couleurs : le rouge, le noir et le blanc. La couleur rouge pour l'armée ; l'ordre, par ses origines, est militaire. Le noir pour la foi ; d'essence religieuse, l'ordre dépend du Vatican. Le blanc, c'est le drapeau du roi ; l'ordre est en effet aristocratique par nature. Mais le blanc, c'est aussi la couleur des blouses des infirmiers et secouristes de l'ordre. Pas facile de s'y retrouver. Peu de groupes humains sont dotés d'autant de facettes, d'identités, voire de couches géologiques. Chaque strate de cette structure de 11 000 membres - parmi lesquels Juan Carlos et Rainier de Monaco - composée de 52 associations nationales en cache une autre, même si l'ordre n'est pas une société secrète.

    L'ordre de Malte est d'abord un Etat fort d'une légitimité historique, et faible de son caractère minuscule. Après le Moyen Age, l'ordre a régné sur l'île de Malte (voir encadré). Mais, le 9 juin 1798, Bonaparte allait conquérir l'île et en chasser les chevaliers. Faute de terres, l'ordre s'installa en 1834 à Rome, dans un palais, via dei Condotti.

    C'est en ce modeste palazzo di Malta, un territoire de poche bénéficiant du statut d'extraterritorialité, que réside aujourd'hui le prince et grand maître du plus petit Etat du monde. Ecossais de naissance, Andrew Bertie a été élu en 1988. Vassal du Vatican sur le plan spirituel, ce descendant des Stuarts, apparenté à la reine Elisabeth II et neveu par alliance de Winston Churchill, est le chef d'un Etat souverain au temporel. Andrew Bertie dirige le souverain conseil - le gouvernement -, qui gère les affaires de l'ordre. Les ministres ont des noms de circonstance : grand commandeur, grand chancelier, hospitalier, receveur du commun trésor. Etat sans sol, sans armée, sans monnaie autre que de collection, l'ordre est malgré tout reconnu par 81 Etats, auprès desquels il délègue ambassadeurs et ministres plénipotentiaires. L'ordre est représenté à l'OMS (Organisation mondiale de la santé), à l'Unesco, au Conseil de l'Europe. Depuis août 1994, il a aussi été admis comme observateur permanent auprès de l'Onu. Mais la France, elle, est réticente, et cela depuis la monarchie de Juillet. De Gaulle aurait dit : « Trouvez-vous donc d'abord un bout de territoire, ne serait-ce qu'un rocher ! » La République n'a toujours pas accrédité un ambassadeur de l'ordre à Paris ; juste, en 1982, un représentant officiel, Géraud Michel de Pierredon, ancien ministre de la Santé de l'ordre.

    Cela dit, la République fait montre de certains égards. A la messe, dans la chapelle royale de Versailles, le 24 juin 2000, le général Jean-Philippe Douin, en sa qualité de grand chancelier de la Légion d'honneur, représentait Jacques Chirac. Echange de bons procédés. Par tradition, les présidents de la République sont en effet décorés de la croix du mérite de Malte. Avant la Ve République, le président français avait droit à une croix d'appartenance à l'ordre, pas une simple décoration ; mais cela avait posé des problèmes, Gaston Doumergue, protestant, et Vincent Auriol, athée, ayant été l'un et l'autre admis au plus haut degré de cet ordre très catholique.

    En retour, la chancellerie de la Légion d'honneur française, qui est habilitée à accorder ou refuser le port par les citoyens des décorations étrangères en France, agrée l'insigne maltais quand l'ordre choisit d'en décorer un quidam. C'est un privilège. La Légion d'honneur ne reconnaît de fait que deux ordres de chevalerie : l'ordre de Malte - plus sa branche protestante, le bailliage du Brandebourg, qui a fait scission - et l'ordre équestre du Saint-Sépulcre, restauré en 1868 par le pape Pie IX.

    La chancellerie de la Légion d'honneur délivre sa décision au cas par cas. Elle se borne à vérifier le casier judiciaire et l'honorabilité du demandeur. En bonne logique, la France, ne reconnaissant pas l'ordre de Malte comme un Etat, ne devrait pas accorder le port de sa décoration sur le territoire. Mais il est des exceptions à caractère politique. Le propre père de Géraud Michel de Pierredon a « rendu des services pendant la Première Guerre mondiale », confie-t-on à la grande chancellerie. En guise de gratitude, l'on déroge à la règle, et l'on fait comme si la décoration de Malte était d'origine pontificale.

    En France, l'ordre est fondé sur deux associations loi 1901. La première est l'Association française des membres de l'ordre de Malte, qui regroupe les 500 chevaliers français titulaires de la croix d'appartenance. Ils sont chevaliers d'honneur et de dévotion en cas de preuves nobiliaires, et chevaliers tout court pour les roturiers. Mais pas de hiérarchie entre eux.

    Cardinal, oenologue, maire...

    Ouverte aux non-nobles, cette société aristocratique est présidée par Jacques Guerrier de Dumast, frère du préfet qui présida l'Observatoire sur les sectes. En son sein, l'association compte des personnalités aussi différentes que le cardinal Jean-Marie Lustiger, l'ancien maire de Grasse Hervé Court de Fontmichel, l'homme d'affaires Marc Ladreit de Lacharrière, et André Damien, de l'Académie des sciences morales et politiques.

    Il y a aussi un commissaire-priseur parisien, un oenologue de Pommery, le chef d'une succursale importante de Chanel et, last but not least, Valéry Giscard d'Estaing, chevalier de l'ordre depuis 1960. A l'époque, les chevaliers avaient parié sur le jeune secrétaire d'Etat aux Finances. Mais ce fils d'un chevalier de Malte n'a guère fait preuve d'assiduité, et, au fond, la France s'est montrée plus attentive à l'ordre sous la présidence de François Mitterrand que sous celle de l'actuel président du conseil régional d'Auvergne. C'est d'ailleurs en 1983, à l'initiative du ministre des Relations extérieures Claude Cheysson, que fut signée une convention, un protocole quasi symbolique « entre les services gouvernementaux français et la représentation de l'ordre en France », prévoyant des échanges d'informations avec l'administration. Rue du Ranelagh, à Paris, au siège français de l'ordre, on le susurre, comme à regret : « Les socialistes se sont bien comportés avec nous. »

    En fait, l'ordre de Malte est surtout actif par son action caritative, la plus importante de ses associations étant les oeuvres hospitalières françaises de l'ordre de Malte, fondées en 1927 sous le statut de la loi de 1901 et reconnues d'utilité publique l'année suivante. D'un chiffre d'affaires global de 212 millions de francs en 1999, l'activité comprend le centre pédiatrique de Roquetaillade, dans le Gers, un centre pour personnes âgées à Toul, la Maison des parents à l'hôpital Necker, à Paris, un service de Samu social, des écoles d'ambulanciers à Garches, Bordeaux, Brest et Toulon. En première année de médecine, Sébastien est bénévole : « Je passe souvent mes samedis soir à la caserne des pompiers de Boulogne, avec laquelle l'ordre a passé un accord ; nous assurons des missions de secourisme. » Les oeuvres françaises financent à l'étranger nombre d'actions. Maternité à Bethléem, centres médico- sociaux au Liban, dirigés par Françoise de Bourbon- Lobkowicz, un hôpital au Bénin, un foyer pour orphelins sidéens au Burkina, un service de chirurgie infantile à Madagascar, un institut de léprologie au Sénégal, etc. « Nous avons, en plus, un service de secours d'urgence », explique Jacques Guerrier de Dumast. Celui-ci a dépêché ses missi dominici au Honduras après le cyclone Mitch, au Kosovo et au Rwanda.

    Agréé par le Comité de la charte de déontologie des organisations sociales et humanitaires, l'ordre de Malte a la cote ; même les patrons de structures homologues en font l'éloge. Au service d'action humanitaire du ministère des Affaires étrangères, qui l'an dernier a alloué 2 millions de francs à un projet gynéco- obstétrique au Kosovo, l'ordre est jugé « sérieux » : « pas de soupçon de gaspillage ». Tout juste un ancien de ce service du Quai d'Orsay le dit-il un peu « vieille école » et critique sa « tendance à collecter n'importe quel médicament ». Manque de professionnalisme imputable au bénévolat.

    Pour bien connaître le terrain, l'ordre dispose d'un réseau de diplomates qui paient le plus souvent de leur poche. Les billets d'avion et les hôtels sont à leur charge. Cela dit, ce peut être profitable aussi à leurs affaires. Par exemple, l'ambassadeur de l'ordre au Cameroun, Jean- Christophe Heidsieck, a fait office de conseiller de la Compagnie fruitière de Vincent Bolloré dans la région, en Côte d'Ivoire. L'intérêt peut être aussi politique. François de Grossouvre, qui était le conseiller aux services secrets du président François Mitterrand, avait été ambassadeur de l'ordre de Malte au Maroc. L'homme qui se suicida dans son bureau de l'Elysée le 7 avril 1994 a été fait chevalier directement par Rome au début des années 80. Car l'association française, par crainte d'un scandale, avait refusé sa candidature. « Mais François de Grossouvre avait ses entrées au Vatican et a réussi à entrer comme ça », se souvient Jean-Pierre Lenoir, un ancien du Service 7 du Sdece, l'ancêtre de la DGSE. « Il a rendu de grands services à l'ordre de Malte », assure-t-on en interne sous couvert d'anonymat.

    A contrario, l'ordre maltais a permis au conseiller de Mitterrand chargé des services secrets et de la police d'être proche du roi Hassan II, ce qu'il souhaitait. En fait, l'ordre semble prisé des agents secrets. Alexandre de Marenches, qui fut chef du Service de documentation extérieure (Sdece), a été fait chevalier en 1951. A un moindre niveau, ils sont nombreux à avoir officié dans les milieux du renseignement : parmi eux, Nicolas Ignatiew, descendant de Russes blancs, qui joua un rôle pour la libération des otages du Liban au côté de Jean-Charles Marchiani. Est chevalier, aussi, Jean de Sabran Pontevès, qui a travaillé pour la DST en Afrique. Et le préfet Jean-François Etienne des Rosaies, conseiller spécial du secrétaire général de la Défense nationale (SGDN) au début des années 90, devint, quand il s'avisa de quitter son poste, délégué de l'ordre de Malte. A l'ordre, l'on dément une présence massive d'agents.

    Mais un chevalier de préciser : « Ce sont surtout les Britanniques ou les Américains qui ont ce genre de pratiques. » De fait, un ancien patron de la CIA, William Casey, était chevalier. « Deux autres chefs de la CIA l'avaient été avant lui, ainsi que plusieurs patrons des services secrets italiens », note Henri-Christian Schroeder, auteur d'un roman à clés, « L'illusion de Malte » (éditions Jean Picollec).

    Parmi les natures de l'ordre, il ne faut pas oublier la chose militaire, qui explique, par la sociologie, ces étranges présences. A la messe de la Saint-Jean-Baptiste, des uniformes de l'armée française constellaient l'assistance. Une haie de fusiliers marins a d'ailleurs honoré le cortège à sa sortie de la chapelle royale. Dans ses rangs, l'ordre compte des officiers de marine en nombre. L'ordre parraine deux bâtiments de la marine nationale, le « Suffren » et le « Tourville ». Ce n'est pas un hasard. Ces deux personnages ont été l'un et l'autre chevaliers de Malte. Parfois, des navires ont pu servir à convoyer des médicaments en direction de théâtres d'opérations humanitaires. Cependant, les relations peuvent être ambiguës : ainsi, selon des sources convergentes, les services de renseignement français ont-ils suspecté qu'une opération humanitaire aurait servi de couverture à une livraison d'armes au Proche-Orient, pour des chrétiens. Ce serait la preuve que la croisade n'est pas finie.

    http://www.lepoint.fr/.../les-croises-de-l.../920/0/3433