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    VARSOVIE, Pologne — Dans son plus récent rapport sur les agressions sexuelles commises sur des enfants, l'Église catholique de Pologne reconnaît que 292 membres du clergé auraient abusé de 368 garçons et filles entre 2018 et 2020.

     

    © Fournis par La Presse Canadienne

    Le document dévoilé lundi tombe au moment où le Vatican enquête sur des allégations d'agressions et d'inaction des dirigeants de l'Église en Pologne, un État à prédominance catholique où le clergé jouit d'un statut spécial.

     

    Le Vatican a récemment puni certains évêques et archevêques polonais pour leur négligence. Ils ont été bannis des églises et leur ont interdit de présider des cérémonies.

     

    Le Saint-Siège enquête également sur des allégations de négligence par l'archevêque de Cracovie aujourd'hui à la retraite, le cardinal Stanislaw Dziwisz, qui a notamment servi à titre de secrétaire personnel du défunt pape Jean-Paul 

     

    Dans une conférence virtuelle, le chef de l'Église catholique de Pologne, l'archevêque Wojciech Polak, a réitéré ses excuses offertes aux victimes et leur a demandé pardon.

     

    Monseigneur Adam Zak, chargé d'enquêter sur les abus du clergé contre des enfants et de prévenir ces agressions, a insisté sur le besoin d'agir pour plus de sensibilisation et de prévention en raison du nombre élevé de cas rapportés.

     

    Le précédent rapport de l'Église, portant sur les années 1990 à 2018, avait identifié 382 agresseurs soupçonnés d'avoir abusé de 625 victimes mineures. Les noms de 42 agresseurs sont apparus à nouveau dans le plus récent rapport.

     

     

    Monika Scislowska, The Associated Press


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     Mafia images libres de droit, photos de Mafia | Depositphotos

     

    "Le pape et la Mafia", 60 ans d'alliances occultes

    La Mafia a longtemps été l'alliée inoxydable du clergé. Enquête sur soixante ans d'alliances occultes entre les hommes d'Eglise et les «hommes d'honneur».

    Par Olivier Toscer

     

    Publié le 28 mai 2015 à 10h02 Mis à jour le 02 juin 2015 à 08h00

    La mafia utilise comme les icônes de la religion catholique pour leur image publique ( GA&A Productions)

     

     

    Le vendredi, c’est relâche dans la Mafia. Ce jour-là, celui de la crucifixion du Christ, les «hommes d’honneur» respectent le deuil. Les assassinats sont donc prescrits.

     

    Cette vieille règle mafieuse pourrait faire office de pitch pour cet excellent documentaire italo-allemand décryptant les relations complexes entre l’Eglise et le crime organisé dans le sud de l’Italie. Le film offre une plongée dans les tréfonds de l’alliance contre nature unissant les hommes d’Eglise, du bas-clergé sicilien aux éminences du Vatican, avec les «hommes d’honneur» de Cosa Nostra et de la Camorra depuis la fin de la guerre. Il éclaire aussi, en contrepoint, la lente prise de conscience de l’Eglise catholique du danger représenté par «la Pieuvre», qui a abouti à l’excommunication très récente de la Mafia par le pape François. C’était lors d’une visite en Sicile. Pour la première fois, un souverain pontife prononçait publiquement le mot «Cosa Nostra». C’était en juin 2014…

     

    Car la Mafia a longtemps été l’alliée inoxydable du clergé. Dès la fin de la guerre, n’étaient-ils pas unis tous deux contre le même ennemi politique, le parti communiste ? L’Eglise voyait dans le «péril rouge» un danger pour son dogme religieux ; la Mafia, une remise en cause de son appât du gain.L’Eglise et les clans mafieux ont donc fait un long bout de chemin côte à côte. D’autant que, même si elle est l’incarnation parfaite du péché, la Mafia se veut profondément pieuse. Nombre de ses membres manient aussi bien le pistolet que le missel, comme Pietro Aglieri, par exemple. Quand les carabiniers sont venus, en 1997, arrêter ce boss de Palerme éduqué au petit séminaire, ils ont trouvé, dans la villa qui lui servait de planque, ni plus ni moins qu’une chapelle, avec prie-Dieu, missels et même un curé officiant pour la messe (celui-ci sera arrêté mais finalement pas condamné). Le film montre également comment les rites mafieux utilisent nombre de références religieuses, comme cette goutte de sang qu’il faut verser sur l’effigie d’un saint avant d’être dûment agréé dans la confrérie criminelle. « Entrer dans la Mafia, c’est comme se convertir », remarque le chercheur et journaliste anglais John Dickie, auteur du film et grand spécialiste de la Mafia.

     

    Mariant le didactique et le spectaculaire, ce documentaire d'une grande maîtrise raconte, dans un gymkhana entre sacristies et arrière-salles mafieuses, soixante ans d'alliances occultes entre la kalachnikov et le goupillon, toujours d’actualité.

     

     

    Documentaire sur ARTE : Théma : Le pape et la Mafia, documentaire réalisé par Jesus Garces Lambert

     

    Teléobs

    Olivier Toscer

     

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    Voir aussi l'OPUS DEI,association  appelée franc maçonnerie blanche, anticommuniste et soutien inconditionnel du dictateur fasciste Franco .Une association dévouée au pape ,fondée  par le prêtre espagnol  José Escriva de Balaguer.Ce prélat a été béatifié par la suite par le pape.

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    Religions - Dieu aime-t-il la guerre ? - Herodote.net

     

    "Le traité d'athéologie est un ouvrage de Michel Onfray paru aux éditions Grasset  en 2005.

    Quatrième page de couverture:

    "Les 3 monothéismes animés par une même pulsion  de mort généalogique,partagent une série de mépris identiques:haine de la raison et de l l'intelligence;haine de la liberté;haine de tous les livres au profit d'un seul;haine de la vie,haine du féminin,des corps,des désirs de la sexualité.

    En lieu et place de tout cela,judaïsme,christianisme et islam défendent:la foi et la croyance,l'obéissance et la soumission,le goût de la mort et la passion  de l'au delà,l'ange asexué et la chasteté.Autant dire la vie crucifiée et le néant célébré."

     

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    Notes personnelles:

    A la page 84 de son livre,Onfray dit "Dieu n'existe pas".Certes le dieu présenté par ces monothéismes n'existe pas .Mais il faudrait être aveugle et sourd pour nier une intelligence et une sagesse suprêmes dans la Nature et dans la Création.

    Il existe bien un Ether,une force primordiale et non pas une tradition primordiale qui agit en tout et en tous.

    Si on s'en tient à lecture littérale,les livres dits saints de l'ancien testament sont sataniques.Il existe cependant une littérature allégorique défendue par Philon d'Alexandrie.De même que la kabbale hébraïque offre des horizons nouveaux pour la compréhension de la nature de l'homme ,de l'Ether et des étincelles qui composent ce monde.

    Mais l'Islam et son Coran criminogène sont carrément à condamner.

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  •  Signification de la Croix Egyptienne "Ankh"

     Ankh ou croix de vie Egyptienne,le souffle qui donne la vie.

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    La croix de mort chrétienne:un macchabée sanglant sur une croix ou un remake d'Osiris.Le Seth égyptien devient Satan et Youda (Judas) est une accusation perfide et mensongère des juifs,pour dédouaner les Romains.En effet Youda veut dire juif.D'où l'anti sémitisme catholique qui culminera avec le nazisme.

    Le bon larron ou le criminel devenu saint

     

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    Cinq raisons pour lesquelles Jésus n’a jamais existé

    Repéré par Eric Leser — 12 juillet 2015 à 14h4

     

    La plupart des historiens universitaires spécialistes de l’antiquité pensent que le Nouveau Testament (les évangiles) sont «de l’histoire transformée en mythologie religieuse». En d’autres mots, ils estiment qu’autour du début du premier siècle un rabbin controversé nommé Yeshua ben Yosef a gagné un certain nombre d’adeptes et que sa vie et ses enseignements ont fourni les éléments de départ de ce qui est devenu le Christianisme.

     

    Dans le même temps, ces universitaires reconnaissent que de nombreuses histoires bibliques, une vierge qui donne naissance à un enfant, les miracles, la résurrection... sont une reprise de thèmes mythiques courants au Moyen-Orient à la même époque.

     

     

    Depuis plus de 200 ans, un grand nombre de théologiens et d’historiens a cherché dans les textes anciens inclus dans la bible ou pas, à découvrir l’homme Jésus à travers le mythe. L’hypothèse selon laquelle Jésus n’aurait jamais existé et serait un mythe construit pour donner un socle à une religion naissante est très minoritaire encore aujourd'hui. C’est sans doute lié au fait que pendant des siècles tous les chercheurs sérieux sur les origines du christianisme étaient eux-mêmes chrétiens.

     

    Mais un nombre croissant d’universitaires s’interroge maintenant ouvertement sur la réalité historique de Jésus. Et ils avancent plusieurs arguments pour douter de la réalité de l'existence du personnage. Voilà cinq de leurs arguments.

     

    -1- Aucune preuve matérielle du premier siècle confirme l’existence de Yeshua ben Yosef. Selon les termes de Bart Ehrman, Professeur de l’Université de Caroline du nord: «Qu’est-ce que disent les auteurs païens de l’époque de Jésus sur lui? Rien. Aussi étonnant que cela puisse paraître, il n’existe pas la moindre mention de Jésus par ces contemporains païens. Il n’y a pas de trace de naissance, de transcription de procès, de certificat de décès. Il n’y a pas la moindre expression d’intérêt, pas de calomnies, pas de références passées, rien. Même dans tout le premier siècle, il n’y a quasiment pas de référence à Jésus par une source non juive ou non chrétienne».

     

    -2- Plus frappant encore, les premiers auteurs du Nouveau Testament semblent ignorer la plupart des détails de la vie de Jésus. Paul semble ne pas avoir été informé de sa naissance d’une mère vierge. Aucun mage, aucune étoile à l’est, aucun miracle. Paul ne fait pas référence à l’autorité de Jésus même pour prouver ce qu’il avance. Il ne présente jamais les 12 apôtres comme des disciples et en fait ne dit jamais que Jésus a des disciples, que Jésus fait des miracles et que Jésus donne des enseignements. Pierre et Jean qui sont sensés être des personnages importants des débuts du christianisme sont considérés comme insignifiants par Paul qui s’oppose à eux et ne les considère pas comme de vrais Chrétiens!

     

    -3- Même les évangiles ne se revendiquent pas comme des récits de première main. Nous savons maintenant que les quatre évangiles qui se sont vus donnés les noms des apôtres Mathieu, Marc, Luc et Jean n’ont pas été écrits pas eux. La désignation des noms donnés à ces évangiles s’est faite aux deuxième siècle, environ 100 ans après les débuts supposés du Christianisme.

     

    -4- Les évangiles, les seuls récits «historiques» de la vie de Jésus, se contredisent à de très nombreuses reprises.

     

    -5- Les chercheurs modernes, ils sont nombreux depuis plusieurs décennies, qui affirment avoir finalement découvert des traces du «vrai» Jésus décrivent en fait des personnes très différentes. On trouve pêle-mêle un philosophe cynique, un religieux juif orthodoxe charismatique, un Pharisien libéral, un rabbin conservateur, un zélote révolutionnaire, un pacifiste non violent. Une liste complète se trouve ici.

     

    Pour David Fitzgerald, ces cinq arguments mènent à la même conclusion: «la figure du Jésus est une construction du Christianisme et pas sa cause. Paul et la première génération de Chrétiens ont créé une nouvelle foi en y ajoutant des rituels païens, des termes gnostiques ,un Dieu sauveur capable de rivaliser avec ceux des Egyptiens, des Perses, des Grecs et des Romains. Nous ne saurons peut-être jamais ce qui a été le déclencheur de la propagation du christianisme

    Slate.fr.

     

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    Voici un exemple sur la façon dont originellement les noms ont été fabriqués  dans l'Evangile.

    Joseph d'Arimathie est présenté comme le personnage qui a descendu Jésus de la croix et procédé à sa mise au tombeau.

    C'est un nom totalement inventé pour la circonstance car il dérive de l'hébreu:

    Après: Ahar  AHR

    Mort: Met MT

    Donc après la mort: Aharmeti transformé en Arimathie.

    Extrait du livre de Bernard Dubourg:"l'invention de Jésus" où il démontre l'utilisation de l'hébreu ,de la kabbale et de jeux de mots hébreux dans l'invention du mythe.

    Pourquoi aussi Jésus désigne Pierre comme chef de l'église ?

    Pierre s'appelait KEPH et Képhas  est la romanisation de ce nom .Keph signifie en hébreu la pointe supérieure d'un rocher,donc la tête.De ce mot dérive Képi,Képhalé,la tête et chef.Donc  Keph traduit en Képhas ne peut être que chef.La phrase initiale devait être "Tu es Keph et sur ce Keph ,je bâtirai mon miquedash: M - Q - D - SH .qui signifie temple ou sanctuaire

    Ces lettres  miquedadh sont l'anagramme de Damas qui s'écrit et se dit Damasheq en hébreu:DMSHQ.

    C'est de cet enseignement de la kabbale que dérive l'illumination de Shaoul: Paul  ,sur le chemin de Damas :DAMASHEQ.

    Shaoul est aussi le nom du premier roi d'Israël.Shaoul ou Paul ne dit-il pas dans ses épitres ":Ne sais-tu pas que ton corps est le temple du St Esprit? 1 Corinthiens:6:19".Temple ou sanctuaire,c'est sur la lumière  de Damasheq qu'est fondée la nouvelle alliance du pays de Damas.C'est ce nom que se donnait les Esséniens dans le site de Qûmran et qui apparaissait déjà  dans l'écrit de Damas.

    Aucun savant ne connaît les évangiles originels .On ne possède que des copies de copies.Et comme le disait le  philosophe Celse dans son dialogue avec Origène, ce sont des copies  maintes et maintes fois modifiées,selon les critiques du moment. 

    Mais les épitres de Paul sont antérieures aux textes des évangiles.Ces épitres ne sont pas toutes de lui et ont été sans doute trafiquées.Mais on peut dire qu'avec la nouvelle alliance au pays de Damas,c'est Shaoul ou Paul  qui par son illumination ou sa lumière intérieure est le véritable fondateur du christianisme et non Jésus.

    Le mot Pierre présenté comme fondateur ne repose que sur un jeu de mot inconsistant.Les Actes des Apôtres le présentent  par ailleurs comme un criminel.Dans sa communauté de Jérusalem,Pierre fit mourir Ananie et son épouse Saphire car ils n'avaient pas tout mis l'argent en communauté d'une vente de propriété.Et c'est ce criminel qu'on nous présente comme fondateur de l'église.Dieu est amour ! L'église l'a prouvé avec ses guerres,ses croisades.Son inquisition était pire que sévices des nazis avec leurs fours crématoires.Les nazis pendaient d'abord les condamnés avant des les brûler.L'église brûlait vif leurs opposants,exemple d'une Jeanne d'Arc ou d'un Giodano Bruno.Le Christ a prêché le royaume de Dieu et c'est le royaume de l'église ou du césaro-papisme qui est advenu.

    Voir aussi le livre de Hyam Macoby "Paul et l'invention du christianisme"

     

    L.B

     

     

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    Le puits de Marie à Nazareth et la tombe ( vide ) de Jésus  à Jérusalem ont été faits construire  au IV° siècle de notre ère par l'impératrice romaine Hélène,mère de Constantin 1er.

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    La Ville créée par la Théologie

     

    Jésus n’a jamais existé –L’Ami Imaginaire

     Auteur de l'article:

    Kenneth Humphreys

     

    03.01.12

     

     

    Celui qui a des oreilles

    Qu’il entende!

     

    Pas de Nazareth – Pas de Jésus 

    5-minutes de votre temps pour éclairer ceux qui sont pressés

     

    Le Patrimoine Archéologique:

     

    Périodes du moyen-âge jusqu’à la fin du Néolithique

    13 squelettes humains et beaucoup d’objets exhumés d’une grotte sise sur le flanc du Mont du Précipice.

     

    Moyen-âge jusqu’à la fin de l’âge du Bronze (2000-1200 av. EC)

    Fragments de poterie provenant de trois tombes. Pas de restes humains non-funéraires.

     

    Age du Fer (1200-586 av. EC)

    Certaines de ces trouvailles, moins nombreuses qu’aux ères précédentes, pourraient être des restes funéraires et d’autres non. Ces trouvailles ont été faites dans des grottes proches de l’Église de l’Annonciation.

     

    Elles ont été trouvées dans de différents ‘silos’ (cavités creusées dans le sol) et « aussi dans d’autres endroits » proches (non spécifiés). Ces objets comprennent 5 vases ainsi que des cruches et des jarres (pour la plupart en fragments)

     

     

     

    Périodes Hellénistique et Hasmonéenne (332-37 av. EC)

    .- Aucunes traces archéologiques

     

     

    Antiquités Romaines I (Hérode, 37av.EC-70 EC),

    Les objets retrouvés de cette époque peuvent peut-être inclure six à dix lampes à huile (qui en fait pourrait dater d’aussi tard que 150 EC)

     

    De ces objets, quatre viennent de la Tombe No. 70 (près de l’Église de l’Annonciation), deux ont étés trouvés sous les ‘grottes’ de cette Église et les derniers quatre viennent des proches alentours.

     

    Toutes ces lampes étaient originellement dans des tombes

     

     

    Ceci est conforme avec la provenance de la plupart des lampes à huile de Palestine (sous le joug Romain) de cette époque.

     

     

    Antiquités Romaines II (70-180 EC)

    4 lampes provenant de deux tombes (de la tombe #70, et d’une tombe a 250 m. au sud de l’Église de l’Annonciation.

     

     

    Antiquités Romaines III (180-324 EC)

     

    Sept lampes provenant des deux tombes mentionnées ci-dessus.

     

    D’un édifice du temps des Romains, quelques pierres enduites de plâtre, des vestiges d’une mosaïque au sol, et une pièce de monnaie Romaine du 4ème siècle.

     

    Des poteries et autres objets portables (verroterie, etc.) – en majeure partie elles datent du 3ème et 4ème siècle EC bien que certaines soient du 2ème.

     

    En fait ces sept lampes proviennent toutes de la tombe #70. Elles n’étaient pas éparpillées sur une surface qui aurait pu suggérer des locations multiples comme on en trouverai dans un ‘village’.

     

    Ces lampes n’étaient déjà plus en usage tous les jours lors de leur placement in situ – en fait, elles sont toutes des lampes votives funéraires

     

     

     

     

    Des pièces de monnaie retrouvées…

     

    "Quelques pièces de monnaie Juives, -ou tout au moins frappées avec des caractères en Hébreu archaïque-, mais toutefois très endommagées…"

     

    – G. Schumacher (Fond pour l’Exploration de la Palestine, Relevé Trimestrielle1889)

     

     Hommes des cavernes?

     

    «Dans la grotte No. 25 : dans l'excavité de l’église médiévale on trouve un escalier taillé dans la roche, tout comme celui sis en face du silo à céréales No. 48, suivi du seuil d’une porte et de son montant à l’ouest toujours in situ tandis que l’autre montant est écroulé au sol… »

     

    – Le Père Bagatti

     

    Les grottes découvertes dans le «village» aurait pu être utilisées par des squatters plus tard.

     

    ”Le Décret de Nazareth”

     

     

    Édit d’un César anonyme menaçant le contrevenant de procès et de la peine de mort en cas de d'ouvertures de  tombes. (Louvre)

     

    La provenance et l'âge de cette plaque gravée sont inconnus (celle-ci avait été expédiée au Louvre de la ville de Nazareth mais aurait pu être trouvée n’importe où) ; cette plaque est typique des décrets de la période Impériale.

     

    Rien ne relie le décret sur cette plaque en quoi que ce soit ni avec le Christianisme et encore moins avec l’Homme-Dieu – cependant certains apologistes insistent emphatiquement qu’elle confirme la Résurrection! 

     

    Les habitants fabriquent un miracle pour les touristes 

     

    "A Nazareth, la communauté juive organisa, le célèbre banc miraculeux pour les pèlerins chrétiens crédules.

    Les visiteurs de Nazareth, a rapporté le pèlerin de Piacenza, ont vu le cahier dans lequel le Christ avait pratiqué d’écrire son alphabet et le banc sur lequel il avait l'habitude de s'asseoir avec d’autres écoliers.

    Les Juifs locaux affectaient de ne pas être en mesure de déplacer ce banc, mais par contre les chrétiens, comme par miracle, le déplaçaient sans aucune difficulté."

     

    - R. Gordon, Terre Sainte, la Ville Sainte, p 93.

     

     

    Les Evangiles nous disent que la ville natale de Jésus était ‘la Ville de Nazareth’ ('Grec : polis Natzorée'):

     

     

    • Au sixième mois, l’ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une VILLE de Galilée appelée Nazareth, • Vers une vierge qui était fiancée à un homme de la maison de David, nommé Joseph ; et le nom de la vierge était Marie. (Luc 1:26,27)

     

    • Et tous allaient se faire recenser, chacun dans sa ville. • Joseph aussi monta de Galilée, de la Ville de Nazareth, en Judée, à la ville de David, qui s’appelle Bethléhem, parce qu’il était de la maison et de la famille de David (Luc 2:3,4)

     

    • Mais, apprenant qu’Archélaüs régnait en Judée à la place d’Hérode, son père, il eut peur d’y aller, et, ayant été averti en songe, il gagna la région de la Galilée • et vint habiter dans une Ville nommée Nazareth, afin que s’accomplît ce qu’avaient dit les prophètes : Il sera appelé Nazaréen. (Mathieu 2:22,23)

     

    • Survenant à cette heure, elle se mit à louer Dieu et à parler de l’enfant à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem. Lorsqu’ils eurent accompli tout ce qui était selon la loi du Seigneur, ils retournèrent en Galilée, à Nazareth, leur Ville. (Luc 2:39,40)

     

     

    Les Evangiles ne nous disent pas grand chose sur cette “ville” – il y a une synagogue, on peut y rassembler avec difficulté une foule hostile (ce qui a donné lieu à la fameuse phrase «un prophète n’est sans honneur que dans sa patrie», et cette ville est adjacente à un précipice – donc cette ville de Nazareth possède un ‘état-civil’ officiel clairement établi, tout au moins d’après le ramassi d’absurdités dénommé « La Sainte Bible »..

     

    Cependant, quand on essaie de trouver une confirmation historique de l’existence de la ville natale de ce ‘dieu’ – quelle surprise! – absolument aucune autre source ne confirme que cet endroit existait au 1er Siècle.

     

    • Nazareth n’est pas mentionnée une seule fois dans l’Ancien Testament. Le Livre de Josué (19 :10,16) – qui prétend être la description complète du peuplement de ces parages par la tribu de Zébulon – enregistre bien douze villes et six villages mais omet complètement ‘Nazareth’ de cette liste.

     

    • Ni le Talmud, bien qu’énumérant une par une 63 villes de Galilée, pas plus que la plus ancienne littérature rabbinique, ne font aucune référence à une ville dénommée Nazareth.

     

    • St. Paul ne connaît pas de ‘Nazareth’. Les Épitres du Rabin Paul (les vraies tout comme les fausses) mentionnent Jésus 221 fois, mais Nazareth aucune fois.

     

    • Aucun fameux historien ou géographe de l’Antiquité ne mentionne la ville de Nazareth. La toute première référence écrite à cette ville n’apparaît qu’au début du 4ème siècle de notre ère.

     

    "Jamais entendu parler de cet endroit" – Flavius Josèphe

     

    Dans ses récits historiques, Josèphe a beaucoup à dire sur la Galilée (d’une superficie d’à peine 2.300 km²). Durant la première Guerre des Juifs, dans les années 60 de notre ère, Josèphe a conduit une campagne militaire en va-et-vient dans cette toute petite province au nord de Judah.

     

    Cependant, Josèphe écrit au sujet de Japha (Yafa, Japhia), un village ou il séjourné quelques temps pendant la guerre (Autobiographie 52), ce village est situé à environ 1,5 km au sud-ouest de Nazareth –ville qui n’existait pas encore durant ce séjour-.

     

    Un coup d’oeil sur une carte topographique de la région nous montre que Nazareth se trouve à un des bouts d’une vallée entourée par des collines sur trois côtés. L’accès naturel de cette vallée est au sud-ouest.

     

    Avant la première guerre Juive, Japha était un lieu d’assez grande envergure. Nous savons qu’il y avait une synagogue, détruite par les Romains en 67 (Revue Biblique 1921, 434f). Durant cette guerre, presque tout ses habitants avaient étés massacrés (Guerres 3:7,31). Josèphe écrit que 15.000 habitants furent tués par les soldats de Trajan. Les survivants –2130 femmes et enfants- furent pris en captivité. Une ville naguère active fut complètement et radicalement anéantie.

    Mais où les habitants de Japha enterraient-ils leurs morts naguère? Dans des tombes creusées au nord de la vallée !

     

    Avec la destruction complète de Japha et la disparation de ses habitants, l’usage de ces tombes sur le site actuel de Nazareth a évidemment cessé. Cette nécropole qui n’a pas de nom est en fait sous l’actuelle ville de Nazareth.

     

    Plus tard – comme les poteries antiques et d’autres objets anciens le démontrent (voir ci-dessous)- le site de Nazareth fut réoccupé. Ceci prit place après la révolte de Bar Kochba en 135 et l’exode géneralisé des survivants qui s’enfuirent de la Judée et se réfugièrent dans la province de Galilée.

     

     

    Rien de ces details n’auraient d’importance si, tout comme dans la très proche ville païenne de Sepphoris, on pourrait de nos jours déambuler à travers des ruines et des décombres d’établissements de bains, de villas, de théatres etc. Malheureusement, aucunes ruines de ce genre n’existent à Nazareth

     

    Non, ce n’est pas Nazareth, ce sont les ruines de Sepphoris (Diocaesarea), éloignée de 45 minutes de marche – et dont aucune mention n’est faite dans aucun des Évangiles !

     

    Tous les apologistes chrétiens s’efforcent vainement à expliquer ces contradictions en disant ‘Naturellement, personne n’avait jamais entendu parler de Nazareth, parce que ce n’était vraiment qu’un tout petit coin perdu’. Donc par un truchement de réduction sémantique, une ville de bonne taille devient une PETITE CITÉ, cette petite cité devient un VILLAGE et ce village finalement devient un ‘HAMEAU OBSCURE’ de taille infime.

     

    Malheureusement, si nous ne parlons plus que d’un hameau tellement obscur et minuscule, l’histoire de ‘Jésus de Nazareth’ ne tient plus debout.

     

    Par exemple, toute l’anecdote écrite sur ‘rejeté dans son pays natal’ exige au minimum l’existence d’une synagogue dans laquelle l’Homme-Dieu puisse ‘blasphémer’. Mais où était-donc la synagogue de ce tout petit hameau bucolique? Pourquoi cet édifice n’a visiblement pas été évident aux premiers pèlerins comme Sainte Hélène, la mère de l’empereur Constantin (voir ci-dessous) – cette fameuse synagogue aurait assurément été bien plus pertinente au héros de cette dame bien plus qu’un minable trou d’eau?

     

    En fait, une tellement petite communauté aussi rustique n’aurait jamais pu avoir les moyens de posséder ses propres rouleaux sacrés en parchemin (objets rares et excessivement chers), sans même parler d’un édifice très couteux purement dédié au culte. En plus, ces paysans auraient presque certainement tous été analphabètes, (tout comme la plupart des autres paysans de Galilée)…donc incapables de lire ni de rouleaux sacrés ni aucun autre document.

     

    Si JC avait vraiment grandi et passé trente ans de sa vie dans un village de 25 familles au plus, -un clan consanguin de moins de 300 personnes – la ‘multitude’ qui supposément avait été choquée par son blasphème et qui l’aurait sûrement jeté du haut d’un précipice vers une mort certaine pour un tel crime, n’aurait certainement pas été hostile contre tous les ’étrangers’, mais aurait été composée de membres de sa famille ainsi que de copains avec qui il avait été élevé, ses frères inclus. Vraisemblablement, ils avaient tous, presque sans aucun doute, déjà dû entendre ses objurgations pieuses depuis fort longtemps.

     

    De plus si cette vierge élue avait réellement reçu d’un ange l’annonce qu’elle enfanterait du Messie tout le clan l’aurait évidement su presque instantanément. Juste pour nous le remémorer, ils auraient assurément aussi assurément aussi connu les détails de ‘L’incident à Jérusalem’ (Luc 2 :42-49) quand ce garçon de 12 ans aurait soi-disant proclamé son auto-avènement au rôle du Messie tant attendu par les Juifs croyants.

     

    En effet, pourquoi personne n’a mentionné ce qui s’était passé à Bethlehem – l’Étoile, les Rois Mages, les Bergers, le Massacre des Innocents et le reste ? Pourquoi auraient-ils étés outragés par quoique ce soit que l’Homme-Dieu puisse dire ou faire ? Avaient-ils oublié que Dieu grandissait parmi eux ? Et qu’était-il advenu de ce somptueux présent d’or pur des Rois Mages– n’avait-il pas rendu la ‘Sainte Famille’ très très riche par ce cadeau des plus dispendieux?

     

    Et puis, si Nazareth avait vraiment été un tout petit hameau, la plus proche ‘montagne’  du haut de laquelle l'Homme-Dieu aurait pu avoir été jeté pour le tuer – le bord d’une falaise (d’après Luc 4 :28, 30) - aurait été au moins à 4 km, nécessitant une montée très rude sur des rochers très escarpés. Aurait le « surhomme » laissé se faire empoigner et entrainer aussi loin, au lieu de ‘filer entre leurs mains’ et s’évader?

     

    Bien entendu, toutes ces incongruités n’existent que parce que « l’incident à Jérusalem » et toute la séquence de la Nativité sont des ajouts tardifs sur le récit de base du Messie-en-résidence.

     

    Quoi qu'il en soit, y avait-il là même un tout petit village?

     

     

     Les preuves archéologiques?

     

    Le monde entier a été béni par le fait que les travaux d'excavation à Nazareth ont été menés par des archéologues Catholiques très pieux. Dans les temps jadis ils auraient bien pu avoir "trouvé" des sandales parfaitement inscrites avec les mots «appartenant à Jésus-Christ". En fait, ils ont extrait jusqu'à la dernière goutte de sainteté de quelques résultats bien malingres. Pourtant, pour l'ensemble de leurs interprétations créatives, même les Franciscains ne peuvent pas dissimuler le fait que le manque de preuves de l’existence avant Jésus d’un village sur le site de Nazareth est pratiquement total.

     

    Non pas que les Franciscains aient manqué l'occasion de trouver ce qu'ils voulaient trouver, ils étaient en fait, en Palestine depuis plusieurs siècles, étant les gardiens officiels de la «Terre Sainte» état résultant des bulles papales "Gratias agimus» et «Nuper charissimae » issues par Clément VI en 1342.

     

    Pendant les guerres des Croisés, Nazareth avait changé de mains plusieurs fois. A un moment donné (1099) l’aventurier normand-sicilien Tancrède avait mis en place une «principauté de Galilée» avec Nazareth comme sa capitale. Mais les chrétiens en avait été chassés à plusieurs reprises jusqu'à ce que finalement, en 1263, Nazareth aie été complètement dévastée par le sultan Baibars et toute cette zone a été laissée en désolation pendant près de 400 ans.

     

    Les Franciscains sont remonté dans cette zone sous un accord avec Fakhr ad-Din II, émir du Liban, en 1620. Ils ont réoccupé les restes de la forteresse des Croisés, mais ont trouvé des moines grecs toujours en possession du «Puits de Marie '. Avec des fonds venant de quêtes, ils prirent en charge l'administration de la ville et en 1730 construisirent une église sur la Grotte. La démolition de cette structure en 1955 a ouvert la voie à l'archéologie «professionnelle» et à la «découverte» du village biblique de Nazareth sur les lieux mêmes où cette église avait été érigée.

     

     

     Héro Chrétien No 1.1955-1960 fouilles menées par le Père Bellarmino Bagatti (professeur, Studium Biblicum Franciscanum à la Flagellation, Jérusalem). Sous sa propre église et terrain attenant, Bagatti découvrit de nombreuses grottes et cavités. Certaines de ces grottes ont évidemment été très utilisées pendant de nombreux siècles. La plupart sont des tombes, dont beaucoup de l'âge du Bronze. D'autres ont été adaptés pour être utilisées comme réservoirs d'eau, comme cuves d’huile ou comme «silos» pour céréales. Apparemment, il y avait des indications que Nazareth avait été «refondée» au temps des Hasmonéens après une longue période où la région avait été désertée. Pourtant, une écrasante majorité des preuves archéologiques datant d'avant le deuxième siècle est funéraires. Obligé d'admettre un manque de preuves appropriées d’'habitation continue, Bagatti a pu conclure, pas moins, qu’ à partir du 1er siècle après JC, Nazareth avait été «un petit village agricole contenant quelques dizaines de familles."

     

    Avec un grand acte de foi ces creuseurs partisans déclarèrent que ce qu'ils avaient trouvé était «le village de Jésus, Marie et Joseph» - bien que n’ayant pas trouvé de village du tout, et certainement aucunes preuves d'individus en particulier. Les trouvailles n’étaient cohérentes, en fait, qu’avec des activités horticoles isolées, près d'une nécropole utilisée de longue date.

     

    Plutôt pratique pour l'Église catholique, des graffitis forts douteux quant à leur contenu et âge avaient aussi indiqué que ce sanctuaire était dédié à la Vierge Marie, pas moins!

     

    Pourtant, un point restait incontournable: les disposition juives envers «l’impureté» des morts. Les Juifs, selon leurs coutumes, ne bâtissaient jamais de villages dans les environs immédiats de tombes, et vice versa c-à-d les tombes devaient toujours être en dehors de toute ville, village ou lieu de résidence.

     

    "Les tombes, tant celles découvertes par Bagatti et d'autres connues des précédentes explorations, aurait été placées à l'extérieur du village et servent, en fait, pour délimiter sa circonférence pour nous. En regardant leur emplacement sur les plans élaborés par Bagatti (1,28) ou Finegan (27), on s'aperçoit à quel point ce village était petit en réalité ... "

     

    - J.D. Crossan (Le Jésus Historique)

     

     

    Mais combien infime pouvait être ce hameau avant que l’on soit forcé d'abandonner l’idée fixe de son existence? La présence de nombreuses tombes rupestres près de la "grotte" est la preuve indubitable qu’au 1er siècle EC, que dans cet endroit il n'y avait jamais eu de village. Ce lieu n'était pas habité, même si il avait été utilisé à d’autres fins.

     

     

     

     Héro Chrétien No 2. 1996 -1997 Dr. Pfann (École de Théologie Franciscaine) creuse à Nazareth. En Novembre 1996, Stephen Pfann du Centre pour l'Étude du Christianisme Primitif a commencé une enquête sur les terrasses agricoles sises sous le « Nazareth Hospital ». Ce que Pfann et son équipe ont découvert était un pressoir à vin d’âge très vague, mais décrit comme «ancien». Des tessons ont également été trouvés sur la surface des terrasses, datant de différentes périodes "en commençant par le début et la fin des périodes romaine.

     

    Une étude archéologique de la surface du sol adjacent au ‘Nazareth Hospital’ a été réalisée entre Février et Mai 1997 par Pfann et son équipe, tous rattachés à ce même Centre pour l'Étude du Christianisme Primitif. Deux zones distinctes ont été identifiées, définies par le type de terrassements qui s'y trouvent.

     

    Avec un typique zèle chrétien, Pfann a pu conclure que Nazareth était minuscule, avec deux ou trois clans vivant dans 35 logements répartis sur 2,5 hectares. Il était seulement très désolant que toutes les preuves de ces habitations aient été rasées par les envahisseurs sans presque laisser de traces.

     

    En vérité, cette preuve des plus frêles, est compatible avec un site ayant été peut-être utilisé comme ferme familiale pendant quelques siècles - naturellement une seule et unique ferme ne fait ni un hameau ni un village ni une cité et encore moins une ville.

     

     

    Fouilles par Michael Avi-Yonah à Césarée en 1962:

     

    Césarée

    Histoire et archéologie en fait commencent à coïncider avec la découverte d'un fragment de marbre gris foncé dans une synagogue de Césarée Maritima en Août 1962. Datant de la fin du du 3ème siècle -début du 4ème, une dalle porte la première mention de Nazareth dans un contexte non-chrétien. Elle nomme Nazareth comme l'un des endroits en Galilée où des familles sacerdotales de Judée ont émigré après la désastreuse guerre avec Hadrien en135 EC. Ces groupes ne s'installent que dans des villes sans aucuns habitants Gentils (c-à-d non-juifs), ce qui exclut d’office Sepphoris bien que sise à proximité. Apparemment, les prêtres avaient été divisés depuis les temps anciens en vingt-quatre «cours» qui se sont relayés hebdomadairement aux services religieux du Temple. L'inscription restaurée lit comme suit:

     

    '«Le cours neuvième sacerdotale [appelé] Hapizzez, [réinstallé à] Nasareth ».

    - J. D. Crossan (Le Jésus Historique)

     

     

    Quelques prêtres juifs et leurs familles constituaient un petit village dans le sud de la vallée jusqu'au 4 ème siècle. Très probablement, ils ont étendu et ré-utilisé certaines des tombes de l’ancienne nécropole. Le hameau juif a ensuite été supplanté par une présence chrétienne un peu plus au nord, aux abords du soi-disant ‘Puits de Marie'

     

    On peut spéculer que le contrôle chrétien de l’unique source d'eau du village finalement force les perfides Juifs à déménager, permettant ainsi aux moines grecs de reprendre la synagogue (érigée au 2ème siècle – et maintenant connue comme la «synagogue-église» - ) dans le courant du 4ème siècle, lorsque le Christianisme reçoit l'approbation officielle du gouvernement de Byzance. Une ville a grandi sur le site, provoquant l'abandon et la destruction de toutes les anciennes habitation juives qui, comme à Capharnaüm, avaient très probablement été construites sans fondations. Certains juifs par la suite se sont ré-installés dans la vallée, car nous savons qu'ils en avaient été expulsés à nouveau par les chrétiens durant le 7ème siècle, ceci du à leur collaboration (afin de contrecarrer les plans néfastes des chrétiens envers les juifs) avec l’envahisseur Perse.

     

     

     

    Obtention d’un Nom

     

    L'expression «Jésus de Nazareth » est en fait une mauvaise traduction de l'original grec 'Jesous o Nazoraios' . Plus précisément, nous devrions parler de "Jésus le Nazoréen» ou Nazoréen a une signification tout à fait sans rapport avec un nom de lieu. Mais qu'est-il du vrai sens de ce mot et comment a-il été appliqué à un petit village? La racine hébraïque très ambigüe du nom est NZR.

     

     

     

     

     

     

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    Note de L- B:

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    Pourquoi cette ville mythique a imaginée:

    Nazareth se dit en réalité Netsareth en hébreu,avec un tsadé.Certains commentateurs font dériver cette racine de Netser,rameau:"Un rameau surgira de la souche de Jessé,c'est à dire la venue du Messie,selon Isaïe."

    Jessé qui se dit Ishaï en hébreu est le père du roi David et Isaïe (Yeshé -yahou) applique ce mot rameau d'Ishaï à un futur Messie que  les Netsaréens appliquent au Christ.(On a affaire ici à plein de jeux de mots)

    La ville de Netsareth n'ayant jamais existé au 1er siècle,ce nom dérive de Netsah qui signifie en hébreu Gloire,Victoire ou de Natsal:être sauvé.

    Jésus de Netsareth, est donc conforme à son titre car Jésus ou yehoshouà en hébreu signifies Dieu (yâh) sauve,délivre.

    Par conséquent ,Jésus,cet être qui délivre et sauve ne peut être né que dans une ville qui contient NETSAH,la gloire,la victoire.Par Yehoshouà,on est Natsal,sauvé.D'où l'origine de Netsareth.Les Natsaréens ou Netsaréens sont les sauvés.

    Mais Netsah,la gloire est aussi selon cette dénomination,un être angélique,un être de Gloire.C'était la conviction du prêtre ARIUS et de l'arianisme des premiers temps chrétiens.Le Christ est donc l'être de gloire d'un simple homme.

    Les anciens Egyptiens appelaient l'être de gloire l'AKH qui se superposait au double ou au KA.

    ARIUS sera persécuté et l'arianisme rayé de la carte par l'empereur Constantin, qui convoqua le concile de Nicée et acquis la secte à sa cause.C'est Constantin,à la suite de Paul qui déïfia la personne du Christ, en faisant  de lui un dieu païen,avec le repas cannibale ou eucharistie.

     

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    L'Évangile Gnostique de Philippe datant du 2 ème siècle propose cette explication: «Les apôtres qui nous ont précédés appelaient Jésus le Nazaréen : le Christ ..."

     

    Nazara "est la" Vérité ". Par conséquent «Nazaréen» est «celui de la Vérité" ... »

    - Évangile de Philippe, 47..

     

     

    Ce que nous savons, c'est que «Nazaréen» était à l'origine le nom d'une des premières secte judéo-chrétienne - une faction, ou une dérivation des Ésséniens. Ces derniers n'avaient aucune relation particulière à une ville de Nazareth. La racine de leur nom peut avoir été «Vérité» ou elle peut avoir été l'hébreu substantif «Netser» («netzor»), signifiant «branche» ou «fleur». Le pluriel de «Netzor 'devient' Netzorim. Il n'y a aucune mention des Nazaréens dans aucun des écrits de Paul. Les Netzorim émergent vers la fin du 1er siècle, après qu’une malédiction ait été placée sur les hérétiques dans la prière quotidienne juive.

     

    «Trois fois par jour ils disent: Que Dieu maudisse les Nazaréens».

    - Épiphane (Panarion 29 :9.2)

     

     

    Les Nazaréens (ou Nazoréens) peuvent se voir comme une «branche issue de Jéssé (le père du légendaire roi David). Certes, ils avaient leur propre version de "Matthieu" dont le texte est maintenant perdu - l'Évangile des Nazaréens -. Cependant cet ouvrage peut difficilement être considéré comme étant un «évangile des habitants de Nazareth!

     

    Plus tard c’est l'Evangile de Matthieu qui a commencé la duperie «Jésus le Nazorène (Nazaréen) dont le titre soudainement se rapporte d'une certaine manière à Nazareth, en citant la « prophétie suivante »:

     

     ‘il se retira dans la région de Galilée et vint s'établir dans une ville appelée Nazareth; pour que s'accomplit l'oracle des prophètes: Il sera appelé Nazoréen."

    - Matthieu 2:23.

     

     

     

     

    Il semble qu’avec les Notzrim, une faction juive-chrétienne, les Evyonim - les «pauvres» (plus tard appelés Ebionites) - a émergé à la même époque. Selon Épiphane (évêque de Salamine, à Chypre, vers 370 EC) ces Evyonim se regroupèrent au sein des Nazaréens. Ils différaient doctrinairement du groupe d'origine dans le rejet de Paul et étaient «des Juifs qui paient l'honneur au Christ comme un homme juste ...» Eux aussi, il semble, avaient leur version propre, le prototype de Matthieu - «L'Évangile aux Hébreux». Un nom que ces sectaires s’étaient affublés avait été «Gardiens de l'Alliance», en hébreu Notzrei haBrit, où Notzrim ou Nazaréens!

     

    En d'autres termes, quand est survenue une crise, les Nazaréens se sont divisés en deux groupes: ceux qui ont tenté de se repositionner eux-mêmes au sein de la doctrine générale du judaïsme ( ’Evyonim'-Notzrim), et ceux qui ont rejeté le judaïsme (‘ Chrétien'-Notzrim) et suivaient une ideologie ressemblant au Paulinisme.

     

    Maintenant, nous savons que des membres de familles sacerdotales se sont réinstallés dans la vallée de Nazareth après la défaite de la Guerre de Bar Kochba en 135 CE. Il semble très probable qu'ils ont été des Evyonim-Notzrim et nommé leur village ‘Nazareth’ ou le village ‘Des Pauvres’ soit en raison de leur apitoiement sur eux-mêmes soit parce qu'ils avaient doctrinairement fait une vertu de leur pauvreté.

     

    «Heureux les pauvres en esprit, car le Royaume des Cieux est à eux."

    - Matthieu 5 :3..

     

     

    L'auteur de Matthieu (re-écrivant le récit proto-Matthieu) avait entendu parler des quelques familles «sacerdotales» qui s’étaient récemment implantées dans un endroit en Galilée qu’elles avaient nommé «Nazareth» - et décida d'utiliser le nom de ce nouveau village comme étant le village natal de son héros. Le voisinage phonétique/onomatopéique évident permettait aisément l’usage du jeu de mots Nazirite-Nazareth sans avoir à subir aucunes remarques désobligeantes ou devoir répondre à des questions fort gênantes quant à cette supercherie.

     

     

     

    Histoire Epineuse, Géographie Epineuse

     

    Les premiers évangélistes s'étaient abstenu d'inventer une enfance, une jeunesse ou un début d’âge adulte pour JC parce que cela n'était pas nécessaire au drame central d'un Dieu-Soleil mourant/renaissant. Mais comme nous le savons, l'histoire a grandi avec le récit, d'autant que les décennies passèrent et le ‘Rédempteur et Juge’ promis n'avait jamais réapparu. L’auteur de la deuxième version de l'Evangile de Marc, en révisant son texte quelque part entre 140 et 150 après JC, n’introduit le nom de la ville qu'une seule fois dans le premier chapitre par ces mots:

     

    «Et il arriva en ces jours, que Jésus vint de Nazareth en Galilée ..." - Marc 1: 9.

     

     

     

    A partir de là, le nom est presque oublié. On peut raisonnablement penser que toutes les quatre références dans Marc sont une/des interpolation(s) tardive(s).

     

    Nous pouvons retracer l'élévation ultérieure de Nazareth par le truchement de l'Evangile de Luc. Luc est l'écrivain qui met de l’emphase sur les liens de JC avec «Nazareth ; Luc est l'auteur qui s’efforce de montrer sa position anti-Capharnaüm. Les chercheurs ont conclu que Luc n'était pas Juif ceci du fait de ses «erreurs flagrantes dans les choses juives». Il fait aussi des erreurs dans sa géographie ; il sait peu de choses au sujet de cet endroit et dans son mini-drame décrit un incident impossible:

     

    "... Et le menèrent jusqu'à un escarpement de la colline sur laquelle leur ville était bâtie." - Luc 4:29.

     

     

     

    ‘’Entendant cela, tous dans la synagogue furent remplis de fureur. Et, se levant, ils le poussèrent hors de la ville et le menèrent jusqu'à un escarpement de la colline sur laquelle leur ville était bâtie, pour l'en précipiter. Mais lui, passant au milieu d'eux, allait son chemin...’’- Luc 4:28,30

     

    Peut-être la multitude avait réellement menacé JC de le faire rouler jusqu’au bas de la pente ?

     

    Cela aurait pris énormément de temps pour que toute la multitude puisse se rendre depuis la ‘synagogue’ du centre-ville et grimper jusqu’au sommet de la ‘falaise’!

     

    La Ville Construite par la Théologie

     

    Au 3ème siècle, Origène, un des Père de l’Eglise, connaissait bien l'histoire évangélique de Nazareth - et pourtant n'avait aucune idée précise où elle était sise - bien qu’ayant vécu à Césarée, à peine a 45 km de la ville actuelle! Même à l'époque d'Origène, quand l'Eglise était déjà devenue plus institutionnalisée, une intense rivalité se développait entre les patriarches de Césarée et de Jérusalem. Cette rivalité ne fut résolue qu’en 451 (en faveur de Jérusalem) à Chalcédoine. Une partie de la rivalité était axée sur le contrôle des «lieux sacrés». Ainsi, «retrouver» la cité perdue de Nazareth était devenu une question d'importance majeure.

     

    Ambulant à la rescousse, au début du 4ème siècle, vint l’impératrice douairière Hélène, déjà âgée de 80 ans. Pour préparer la voie à une réunion imminente avec son Créateur avec un programme de «Travaux Saints», elle avait fait un pèlerinage de ‘Sauve Conscience’ en Palestine. Dans la zone de Nazareth, elle n'a rien pu trouver, sauf un ancien trou d’eau - en fait la seule source d'eau dans la région (ce qui en soi démolit l'idée qu'il n'y ai jamais été une «ville»). Sans doute encouragée par les très astucieux habitants de la région, Hélène décida rapidement de dénommer ce trou d’eau comme étant le ‘Puits de Marie’ et fit construire une petite basilique au dessus.Subséquémment, les Evangiles avaient évité à préciser exactement où Marie avait été quand l'archange Gabriel était venu la voir. Ainsi, ce site obtint vite le soutien local au sujet de cette soi-disant visitation divine et Nazareth ainsi acquis sa première église.

     

    Hélène créa la première entreprise de pèlerinage qui depuis n'a jamais cessée ses opérations de tourisme.

     

     

    «Le Puits de Marie: Un trou à peine le sol comme forte preuve de l’existence de la Sainte Famille (à peu près aussi convaincant qu’une tombe vide).

     

     

    Remarquez-donc le tronc de collecte des pièces de monnaie, en bas à droite

     

     

    Route d’un Pélerin du 4ème siècle – et pas de NAZARETH!

     

     

    Itinerarium Burdigalense – l'Itinéraire du Pèlerin Anonyme de Bordeaux - est la première description laissée par un touriste pieux. Elle est datée de 333 EC. L'itinéraire est une liste en style Romain des villes et des distances avec le commentaire occasionnel.

     

    Comme le pèlerin passe Jezréel (Stradela), il mentionne le roi Achab et Goliath. A Aser (Teyasir), il mentionne Job. À Néopolis sa référence est le Mont Gerizim, Abraham, Joseph, et le puits de Jacob à Sichar (où «JC a demandé de l’eau d'une femme Samaritaine»). Il passe le village de Bethel (Beitin) et mentionne la lutte de Jacob avec l’Ange, et Jéroboam. Il passe ensuite directement à Jérusalem..

     

    Notre pèlerin – plus préoccupé par les histoires du Vieux plutôt que celles du Nouveau Testament - ne fait aucune référence à «Nazareth».

     

     

     

    Une génération après que l'impératrice douairière soit allé en tournée, une autre grande seigneuresse gériatrique, la Dame Égérie, passe des années dans ce «Pays et devenait chaque jour de plus en plus sainte».

     

    Égérie - une Espagnole, comme l'empereur Théodose, presque certainement faisant partie de l'entourage impérial - atteint la zone de Nazareth en 383. Cette fois, les moines très habiles lui montrèrent une «grande grotte splendide» et lui donnèrent l'assurance que c'était bien là que Marie avait vécu. Les Gardiens de la Grotte, n’avaient pas laissé se faire surenchérir par les Gardiens du Puits, et avaient insisté que c’était la grotte, et non pas le puits qui avait été le site de la visitation divine. Cette soi-disant «sainte grotte» est devenue une autre attraction de pèlerinage, sur laquelle – en 570 - la basilique d'une autre église fut érigée. Aujourd'hui, au-dessus et près de ​​la Vénérable Grotte, se dresse le plus grand parc à thème chrétien du Moyen-Orient.

     

    4ème Siècle - Carte Romaine et toujours pas de NAZARETH!

    La côte du Levant de la carte dite de Peutinger ou «table» (Tabula Peutingeriana), avec l'ouest vers le haut. La carte complète est de vingt-deux pieds de large et est ainsi nommée pour Conrad Peutinger, un antiquaire allemand du 16ème siècle et est actuellement détenu à Vienne. La carte est en fait une copie médiévale (12ème siècle ou 13ème) d'une carte Romaine datant du 4ème siècle (elle montre Constantinople, fondée en l'an 328). Le monde entier connu des Romains est représenté, de l'Espagne à l'ouest jusqu’aux Indes à l'est.

      

     

    Grotte sous la basilique de l'Annonciation. La ‘maison de jeune fille’ de Marie (ou même le domicile de la Sainte Famille, si l’on préfère 

     

    Vers la fin du 4ème siècle - époque à laquelle l'Eglise avait le contrôle complet de la rectitude théologique - Nazareth était correctement décrite par Jérôme comme «un tout petit village en Galilée» (Onom. 141:3). Il devait bien le savoir puisqu’il avait fui un scandale en Italie pour mettre en place une retraite ecclésiastique dans la région pour des Romains bien nantis. Le village doit son existence même à l'itinéraire impérial d'un demi-siècle auparavant.

     

    Dès le 5ème siècle le site supposé de Nazareth - marquée par son couple d'églises –était devenue une destination incontournable pour les pieux (et oisifs) pèlerins. Nous connaissons une visite de Piacenza en 570, une visite d’un Arculf en 638, une d’un Wilhebald en 724, et une d’un Al Mas'udi en 943. Un certain Sewulf en 1102, comme les visiteurs précédents, a indiqué que seule l'église de l'Annonciation valait le coup d'être vue.

     

    Les armées arabes envahirent en 636 EC les territoires byzantins en Palestine, y compris Nazareth. Une présence chrétienne a quand même continué dans la région, bien qu’étant sujette à des restrictions et de lourdes taxes. Près de cinq siècles plus tard, les Croisés occupèrent la vallée et y construisirent un fort. Sur les fondations de ‘l'église-grotte’ byzantine ils firent construire quelque chose d'un peu plus grand, plus conforme à la haute stature hiérarchique leur évêque.

     

    Dans le centre de la ville, l'énorme Eglise catholique de l'Annonciation (la plus grande église du Moyen-Orient) construite sur de nombreuses grottes.

     

    Jusqu'à la colline, l'église de Saint-Joseph construite sur d'autres grottes («maison du charpentier et de l'atelier»).

     

    En face, l’édifice de l'Hospice de Sœurs de Nazareth, construit sur des tombes anciennes, l'une avec une porte en pierre à roulement énorme!

     

    Et au bord de la route principale, l'Eglise catholique grecque à côté d'une synagogue antique.

     

     

    Aujourd'hui, plus d'un million de visiteurs (cinquante pour cent des touristes en visite en Israël) visitent Nazareth. Qui voudrait de gâcher la fête? Alors ne disons rien…

     

    Les preuves que Nazareth était déjà une ville au 1er siècle EC n'existent pas ; ni preuves littéraires, ni archéologiques, et ni historiques n’existent. C'est une ville imaginaire d'un Homme-Dieu tout aussi imaginaire.

     

     

    Sources:

    René Salm, Le Mythe de Nazareth (Kevalin, 2007)

    Dan Cohn-Sherbok, Le Juif crucifié (Harper Collins,1992)

    Henry Hart Milman, L'Histoire des Juifs (Everyman, 1939)

    Josephus, La Guerre des Juifs (Penguin, 1959)

    Jonathan Reed, Archéologie et le Jésus de Galilée: un nouvel examen de la preuve (Trinity, 2002)

    Leslie Houlden (Ed.), le Judaïsme et le Christianisme (Routledge, 1988

    Karen Armstrong, Une histoire de Jérusalem (Harper Collins, 1999)

    Jonathan N. Tubb, les Cananéens (British Museum Press, 1998)

    Norman Cantor, La Chaîne Sacré - Une Histoire des Juifs (Harper Collins, 1994)

     

    Mary, Mary ... Immaculate Deception

      

    "Saint Peter" – Linking Rome back to the Godman

    SECTIONS PRINCIPALES

     

    Pensez-vous vraiment que tout a commencé avec un juif moralisateur faiseur de miracles, se promenant du 1er siècle en Palestine? Préparez vous à être éclairé.

      Jesus – l'ami imaginaire

     

     

    Gardant toujours l'idée qu'une sorte de saint homme se cache derrière la légende? Mieux vaut vérifier ...

    Homme-Dieu - La gestation d'un superhéros

     

     

    Un examen plus attentif de l'affirmation que l'histoire de Jésus "pris son envol rapidement et se propagea rapidement."

     Qu’est ce que les premiers chrétiens croient?

     

     

    De nombreux courants nourrissent le mythe de Jésus, comme les ruisseaux et les affluents ils se rejoignent pour former une grande rivière.

     Le patrimoine syncrétique du christianisme:

    "Le sacrifice humain,le cannibalisme,le mythe d'Osiris ou d'Attis,la croyance abjecte juive du bouc émissaire"

     

     

    Une grande partie de la mythologie du christianisme est le rabâchage d’une fabrication encore plus transparente - le judaïsme..

     

     

     

    L'ingéniosité humaine et la sagesse sont compensées par la monumentale crédulité de l'humanité et des vœux pieux.

     

    Organisation de l'Eglise, l'autorité et l'adhésion a précédé plutôt que suivi la doctrine qui la justifie. Comme l'organisation de l’église et ses besoins ont évolué avec le temps, le «Testament immuable de Dieu" a été adapté en conséquence.

     

     

    Du policier religieux à l'église du grand seigneur, du lutteur de bêtes sauvages à Ephèse à sa décapitation à Rome, l'histoire de Paul a plus de trous qu'un fromage suisse.

      (N.B: VOIR LE LIVRE DE HYAM MACOBY:PAUL ET L'INVENTION DU CHRISTIANISME: Editions "Lieu Commun/Histoire)

     

     

    Orchestrés par d’ambitieux membres du clergé chrétien, le cancer de la superstition, la peur et la brutalité ont été imposés à travers l'Europe.

     

    "Les catholiques prêchent le royaume des cieux mais ils ont installé l'Enfer sur terre. L'enfer chrétien est bien réel et comble de sado masochisme ,ils brandissent le hochet de l'enfer éternel.Massacre des sectes concurrentes,dont la dernière est celle des Cathares ou Albigeois.Chasse aux prétendues  sorcières brûlées vives ,dont la dernière a été Jeanne d'Arc.Inquisition,tortures dignes du nazisme,scientifiques persécutés comme Galilée ou brûlés vifs comme Giordano Bruno,guerres,croisades la liste est longue de l'enfer catholique."

     Enfer sur Terre - une superstition brutale se répand à travers le monde

     

     

    Prostituée au pouvoir politique ,bras armé des rois et empereurs , l'Eglise chrétienne a régné sur la destruction de la civilisation. Au fil des siècles, la barbarie religieuse devient de plus en plus vicieuse.

     

     

    Pendant deux millénaires, le christianisme anti-sexuel, les doctrines puritaines ont infligé des dommages incalculables sur la vie mentale, émotionnelle et physique d’innombrables millions de personnes.

    "Les clercs tellement réprimés sexuellement  sont devenus pédophiles et pédérastes.Les bonnes soeurs amantes de Jésus sont devenues névrosées et prises de folie sexuelle comme les Ursulines de Loudun."

     

     

     

     

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    Copyright © 2004 par Kenneth Humphreys.

     

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