• La secte catholique est à l'origine de la haine des juifs et de la shoah

     

     La France catholique face à la Shoah - Marie-Christine Gambart & Laurent  Joly | Fondation pour la Mémoire de la Shoah

     

     

    Sarfatit 

      

    L’antisémitisme de l’Église catholique

    Depuis Clovis, jusqu’au Pape Innocent III, les bases de l’antisémitisme de l’Église catholique ont été définies.

     

    En 1199, ce pape rédigea Licet perfidia judeorum et décida du sort des juifs.

     

    Ils porteront la rouelle, ils seront parqués dans des ghettos, exclus de la vie des cités. Mais on ne les opprimera pas trop durement et les cadavres des juifs ne devront pas être profanés, car c’est par leur existence que notre  foi est reconnue comme vraie. Comme Caïn, ils devront vivre sans foyer dans une diaspora perpétuelle. Ils confirmeront par là, la malédiction qui pèse sur eux, la mort et la victoire de Jésus-Christ.

     

    Les bases de cette encyclique sont les bases de l’antisémitisme de l’Église catholique.

     

    Parquer les juifs et les différencier des catholiques, les persécuter sans les éliminer pour prouver la vérité du catholicisme.

     

    L’antisémitisme, a été notre ciment et nous a préservé de la disparition, car nous avons survécu dans nos particularités et notre religion.

     

    Le fossé entre l’Église catholique et les juifs

    Ce fossé est théologique, comme l’avait décrit Pie X à Théodore Hertzl.

     

    Depuis son origine, l’Église avait fondé son élection sur un Israël détrôné de son règne par l’avènement du Christ.

     

    Elle avait décidé que l’abaissement des juifs, leur errance, leur malheur, leur exil du pays d’Israël correspondait à un plan divin, annoncé dans les écritures et représentaient le châtiment de leur rejet et de leur condamnation du Christ, la punition du déicide.

     

    Le malheur des Juifs, visible aux yeux de tous, démontrait la vérité du message chrétien.

     

    L’Église catholique et le sionisme

     

    Le Juif errant a cessé d’errer en s’installant le territoire Palestinien.

     

    Ce territoire était Sion, dont la doctrine chrétienne l’avait banni pour l’éternité.

     

    Or depuis, les juifs ne sont plus soumis, leurs kiboutzim, leur savoir, leur armée inflige un démenti cinglant à l’enseignement de l’Église catholique.

     

    Un village juif en Palestine était la preuve vivante que l’Église s’était trompé.

     

    En 1948, on pouvait lire ceci par l’agence de presse italienne Fides.

     

    Une aristocratie juive se forme dans les kibboutz  et procède à un élevage à la chaine et à l’éducation de la nouvelle race. Dans le débraillé sémite et l’exaltation orgueilleuse d’une vengeance triomphante, se forment les troupes de chocs et les tueurs sans scrupule.

     

    Renforcés par une pègre d’aventuriers recrutés dans le monde entier, ce sont la , les auteurs de massacres spectaculaires qui ont atteint leur but, faire fuir les populations terrorisées

     

    La répugnante population juive, la race des assassins du seigneur, a commencé à envahir la terre sainte. En conséquence l’association fait appel aux autorités pour qu’elles défendent le pays contre le mouvement sioniste dont le but est de livrer la guerre à la chrétienneté et de profaner les lieux saints.

     

    Jean XXIII et les Juifs

    Jean XXIII, contrairement à ses prédécesseurs a voulu laver les juifs du déicide.

     

    Depuis le rapport Juif/Chrétien a évolué, mais des siècles d’antisémitisme génétique s’est en parti rouverte avec l’importation de l’antisémitisme islamique.

     

    Aujourd’hui, en France , comme partout en Europe, l’antisémitisme renait de ses cendres et s’appelle antisionisme.

     

     

    Ilan Halimi, Mireille Knoll, Sarah Halimi en France on tue des juifs parce qu’ils sont juifs.

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